Jean-Frédéric
BRUN Thierry COSTE Jean-Régis TEMPLE
INVENTAIRE SPÉLÉOLOGIQUE DU
MASSIF
DU TAURAC (Hérault)
Groupe
d’Etudes et de Recherches Spéléologiques et Archéologiques de Montpellier
MONTPELLIER,
1983
« Depuis Ganges jusqu’à St
Bauzille, on ne voit que des rochers calcaires escarpés. Le magnifique chemin
qu’on à pratiqué au travers de ces précipices n’est pas même bien sûr en
quelques endroits, parce qu’il y à de ces roches qui sont dans un danger imminent
de tomber sur les passants, surtout dans le temps de dégel ou de grosses
pluies.
Un hasard qui manqua me
coûter fort cher me fit apercevoir qu’il y à dans l’intérieur de cette montagne
quelque grande caverne dont le toit n’est pas solide, car, lorsque j’y passai,
il se fit un éboulement souterrain dont le bruit effraya tellement nos chevaux,
qu’ils faillirent nous précipiter dans cette rivière. »
Ces lignes étonnantes de
GENSANNE (1) présentent le massif du Taurac et ses mystères. La caverne éboulée
n’a pas été identifiée. Pour R. de Joly (28) ce serait la grotte du Soleil (nº
200). Ce pourrait être tout aussi bien les nº 148 ou 181 de notre inventaire,
ou encore la n°5, cavités caractérisées par une trémie importante. La n°
127, éventuellement, peut aussi être une candidate. En tout état de cause, le
cavernement du Taurac était imaginé dès le XVIII° siècle.
Le Taurac est un plateau
calcaire triangulaire limité de façon très nette par les gorges de l’Hérault à
l’W, et deux grandes failles au N et au S, mettant en contact ces calcaires
avec les formations marneuses imperméables, plus récentes, des bassins crétacés
de Ganges et de Saint Bauzille.
Entre ces deux failles, qui
prolongent le système de failles de la montagne de la Séranne, on à donc une
surrection du Jurassique supérieur, formant une éminence isolée au milieu de
formations sédimentaires non karstiques.
La superficie du massif est
d’environ 5 km2. Il culmine à 487 km au Bòsc del Grand Sèrre, alors
que le niveau de base où coule l’Hérault est situé aux alentours de 130 m
d’altitude.
Le paysage, très
pittoresque, et les moyens d’accès ont été décrits de façon très complète par
un excellent guide de D. Dainat (56) ce qui nous épargnera sa description. On y
retrouve les différents aspects de la garrigue méditerranéenne : lapiaz, dont
le nom local est rascle, canhàs ou cavanhàs ; rochers ruiniformes
ou gendarmas ; formations d’éboulis dus à la gélifraction, ou clapàs,
thalwegs asséchés ou colièiras ; pentes d’éboulis (gravasses ou
rutlas). Ce tout noyé par une végétation épineuse abondante résultant de
la dégradation d’une forêt exploitée depuis des siècles par les hucherons (boscatièrs)
dont ont retrouve les aires et les cabanes (carbonièiras) disséminées
dans tout le massif.
Au milieu de ce paysage, bien
sur, il y à les cavernes. Rares dans la moitié NE, elles sont concentrées à
plus de 90 % dans la région des gorges de l’Hérault, où on peut compter près de
140 cavités au km2, ce qui est une densité assez exceptionnelle. Ces
cavernes sont groupées en deux systèmes :
1/ Le Système du Moulin
Neuf (grotte des Demoiselles et cavités annexes), qui regroupe la plupart
des cavités recensées dans la communes de Saint Bauzille.
2/ Le Système des
Sourcettes, centré
sur l’aven des Lauriers, regroupe la plupart des cavités de la commune de
Laroque.
L’origine de ces réseaux n’a
rien d’évident. Paul Dubois, dans sa synthèse très intéressante sur les karsts de la
région de Montpellier, se fait le défenseur d’une thèse selon laquelle les
avens du Taurac auraient été des résurgences vauclusiennes : notamment
l’aven des Lauriers et la grotte des Demoiselles (51). Evidemment, l’argument
fondamental pour avancer cette hypothèse est le drainage actuel par le Karst
noyé du Taurac (Maire-Route, Aurélie et Sourcettes) des eaux du Rieutord de
Ganges, dans le massif du Ranc de Banes. L’existence de marmites de plafond ou
de cupules d’érosion n’a aucune signification dans les avens aussi anciens.
Cette théorie est séduisante, mais ne repose sur aucun argument décisif.
La masse de documents
accumulés dans notre étude appellera d’autres développements qui ne
trouveraient pas leur place dans le cadre de cette préface. Cependant, d’ores
et déjà, nous pouvons confirmer les intuitions de Martel : Le karst du
Taurac comprend une série de niveaux de creusement horizontaux, reliés par des
systèmes de puits.
Leur classification est
délicate, car le puzzle est fragmentaire, et la disposition assez différente
selon que l’on considère le système de Sourcettes ou le système du Moulin Neuf.
En considérant la
morphologie des conduits et leur altitude, on peut distinguer onze niveaux
de creusement.
l/ Un niveau à de cavités
de paléokarst (Pliocène ?)
mal indentifiable. On
retrouve des poches karstiques totalement comblées par le remplissage, souvent
situées très haut, au dessus de 400 m. (189, 190, 206).
2/ Un niveau B de grandes
cavités de plateau
s’ouvrant vers 360 m par des
puits, donnant sur de vastes conduits vers 330 m d’altitude, (145, 152, 163,
entrée de 200, 182). Dans les Demoiselles, ce niveau se subdivise en trois
étages, qu’on peut retrouver, en moins net, au Lierre et au Pater.
3/ Un niveau C de grandes
salles à la cote 300,
relié au niveau B des puits
vastes (20-30 m). Ce niveau est très net dans le système du Moulin Vieux : 19,
152, 154, 157, 181, 182, 200.
Dans le système des
Sourcettes, des cavités peuvent correspondre à ce niveau, moins bien
individualisé : 5, 25, 94.
4/ Un niveau D, surmonté
de puits de 10 à 20 m, à 270-280 m :
En réalité, ce niveau ne
donne pas beaucoup de galeries, mais une série de porches visibles en falaise,
notamment dans le secteur des Sourcettes. (60, 93, entrée de 155, 191).
5/ Un niveau E à 250 m, de
galeries 2 x 2 à 3 x 3, relié au niveau D par des puits de 20 ou 30 m.
(148,172,173, 174, 175, 176).
6/ Un niveau 210-225 (niveau
F), relié
au précédent par des puits de 15 à 20 m. On y observe de grandes galeries :
fond de 155 et de 191.
Aux Sourcettes, ce niveau se
subdivise en deux étages qu’on ne dissocie plus en aval. Ils sont reliés par de
courts puits de 10 m.
Fl = 28, 29.
Fl = Etage inférieur de 28,
grotte 71, 95, 108, 118.
7/ Un niveau G : 200-190 : il peut être relié au
précédent par des puits (71, 87) de belle allure. Il correspond à. un niveau
intéressant de galeries (12, 40, 41, 42, 43, 44, 47, 50, 69, 190). Lui aussi se
trouve dédoublé dans la région amont en deux subdivisions :
61 = 50, 51, 52, 53, 60.
62 = fond de 71, 47, 49 (?).
8/ Un niveau 165-180 : il
est relié au précédent par des puits de 15 à 20 m (98, 179). Il correspond à
des gale-ries parfois longues et intéressantes. C’est le niveau H = 17, 49, 98
sup, 105 sup.
9/ Un niveau I : 140-155
: ce sont les galeries qui surmontent le Karst noyé : (98 inf, 105 inf.
Une série de puits les
relient au niveau H. (77, 98, 105).
10/ Un niveau J : vers
130 : c’est le Karst noyé du Taurac. Peu évolué, les griffons des
Sourcettes ou de l’Aiguille, ainsi que les siphons de la Route, du Laurier et d’Aurélie,
sont impénétrables. Notons au passage que ce niveau n’est pas synonyme de «
Rieutord souterrain » puisque la source de l’Aiguille semble ne drainer que
le Taurac.
11/ Nous regroupons dans
le niveau K une série hétérogène de cavités manifestement récentes,
correspondant à des réseaux « cutanés » quaternaires. Ce sont des avens à
profil vertical. Certains s’ouvrent au dessus de 400 m, (97, 194) d’autres vers
310, d’autres enfin vers 220. (27, 34, 35, 36, 37).
Ce type d’avens, fréquent
dans toute la région des garrigues (où il peut atteindre plus de 100 m de
profondeur au signal de Puéchabon ou à l’aven Claude) constitue visiblement
dans l’ensemble énuméré ci-dessus une « pièce rapportée ».
Ce schéma découle de l’ensemble de nos observations présentées plus loin. Classant les cavités par altitude, nous avons été frappés par une similitude morphologique entre cavités du même niveau. Bien sûr, il s’agit d’un modèle théorique que de nouvelles observations ne manqueront pas de modifier ou de compléter.
Tel quel, il nous semble
néanmoins montrer que le Taurac, loin d’être une zone d’exutoires de type
vauclusien aujourd’hui fossilisée, est une superposition de niveaux horizontaux
reliés par des zones de puits correspondant au soutirage en profondeur.
Bien d’autres observations
peuvent être tirées des données que nous publions dans cet inventaire, mais la
place nous manque pour cela. Elles feront l’objet d’autres publications.
C’est à l’extrémité NE du
massif, à la station de surface de Blancardy, que R. NOURRIT à identifié
des éclats grossiers portant des retouches, ainsi que des pointes
moustériennes, montrant ainsi que le Taurac était habité dès le paléolithique
moyen. La grotte de Laroque nº 2, à la faveur d’un sondage, à également livré
du moustérien.
A partir du paléolithique
supérieur, l’occupation de la région est pratiquement ininterrompue, comme en
témoignent les vestiges innombrables découverts dans les cavités, et qui vont
du solutréen (Grotte de Laroque nº 2) au Moyen Age et à l’époque contemporaine.
(54, 55).
Une abondante littérature
archéologique concernant le Taurac figure dans notre bibliographie et nous
épargnera de développer un chapitre qui sort de notre propos dans cet ouvrage.
Au XVI siècle, les frères
Platter parcourent, entre Ganges et St Bauzille, le chemin qui longe l’Hérault
et décrivent « la vallée que surplombent de chaque côté des rocs très élevés ».
Ils rapportent qu’un voleur de grands chemins, nommé Aragon, fils d’un
forgeron de Lunel, et d’une force réputée colossale, avait établi son repaire
dans une caverne dont on leur montra l’entrée « sur l’autre rive, et à une
certaine hauteur ». Il pourrait s’agir de la grotte de Napoléon ou de la
Baume du Rocher de Sion, commune d’Agonès.
En 1780, Benoit-Joseph
Marsollier, seigneur de Vivetières, avocat au Parlement (17 Janvier 1750 - 22
Avril 1817), rencontre M. Lonjon, juge des gabelles de la ville de Ganges. Il
décrit ce dernier comme un « amateur passionné des curiosités de la nature » qui,
« après avoir fouillé presque toutes les grottes qui environnent la ville qu’il
habite, fut tenté d’entrer dans la Bauma de las Domaiselas ou des Fées.
Cette grotte, située à trois quarts de lieue de Ganges, à de la réputation dans
le pays ; on prétend que dans le temps des guerres de religion, une famille
sans ressources, pour éviter la persécution et la mort, se retira dans cet
antre ; que souvent on apercevait le soir quelques uns de ces infortunés, nus,
pâles, défigurés, cherchant à voler des chèvres qui gravissaient le long des
rochers (...) on croit qu’ils donnèrent le jour à quelques malheureuses
créatures, qui, ayant perdu l’usage des vêtements, devinrent des espèces de
sauvages, l’épouvante des bergers des environs (...). L’effroi qu’ils avaient
répandu avait fait regarder ce lieu comme dangereux, et depuis longtemps
personne n’osait suivre les détours que cette grotte offrait ».
Le 7 Juin 1780, Marsollier
et Lonjon, avec quatre compagnons vigoureux, gravissent les pentes du Taurac,
avec une halte à la Coste où un septième équipier se joint à eux.
Cette première exploration,
mouvementée, conduisit l’équipe, au-delà d’une étroiture désobstruée auparavant
par Lonjon, au seuil d’un vide impressionnant.
Le 15 Juillet, une équipe plus
nombreuse eut la joie de parcourir la vaste salle de la Vierge « grande comme
la moitié de Ganges ».
La narration qu’en à laissé
Marsollier est restée célèbre dans les annales de la Spéléologîe, où nos hardis
précurseurs occupent une place de choix.
Désormais, la grotte de
Ganges comme on l’appellera, deviendra une excursion sportive très prisée
des touristes aventureux de l’époque romantique et de la belle époque.
Mais, tout de suite après la
célèbre exploration de Marsollier, un intermède troublé va animer les cavernes
du Taurac, lors des persécutions religieuses de la Révolution. Saint Bauzille,
rebaptisé « Bel Hérault » par les Sans Culottes, se trouve divisé en plusieurs
factions. La contrée est sillonnée par les « Brigands Royaux », hostiles à la
République. Des prêtres réfractaires au serment constitutionnel se réfugient
dans diverses cavernes. L’abbé Pialat, vicaire de la cathédrale d’Alès, à
laissé son nom à un caverne voisine du Bois de Mounié. Refusant de prendre
parti pour les Brigands Royaux, et activement recherché par les Sans Culottes,
il réussit en Mars 1793, à célébrer les offices pascaux en plein milieu de
Saint Bauzille et à échapper à ses poursuivants.
Un autre réfractaire, l’abbé
Lonjon, fils de l’intrépide coéquipier de Marsollier, et qui avait d’ailleurs
participé lui-même à la « première » de la salle de la Vierge, fut caché à
La Coste par la famille Chanson, mais dut, pour échapper au Comité de Salut
Public, habiter un certain temps la grotte nº 1 des Camisards (nº 143 de cet inventaire)
et même la grotte des Demoiselles, qu’il avait l’avantage de bien connaître.
Cette situation précaire
dura de 1793 à 1802, où nos deux abbés, vainqueurs de multiples embûches,
rendirent louanges au « vainqueur des rois » Napoléon 1°, qui leur apportait
enfin, avec le Concordat de 1802, la paix et la sécurité.
Le 28 Juin 1889, c’est E.A.
Martel qui se rend sur le Taurac pour explorer la grotte des Demoiselles, dont
il dresse un croquis détaillé qu’il publiera dans les Abîmes.
L’Avens Laurier et les
grottes de Laroque nº 1 et 2, reconnus par les archéologues dès 1864 (Boutin)
lui sont signalés par une lettre manuscrite de Jeanjean en 1892.
En 1897, il fait descendre
Armand dans l’aven du Pater, sonde à 30 m l’aven du bas, et explore une vaste salle
qu’il appelle grotte du Soleil « parce que l’astre à son coucher y déverse des flots de
lumière ».
En dessous de cet « antre
superbe », l’aven du Figuier et la grotte des Poteries sont explorés par Viré,
Chanson et Armand alors que Martel s’en va reconnaître la source et les avens
de Brissac.
Cet ensemble constitue le
réseau du « Pli-faille du Moulin Neuf » que Martel citera souvent comme exemple
de niveaux de creusement superposés.
En 1930, R de Joly, à la
demande de la Société d’Exploitation de la grotte des Demoiselles, réédite
toutes ces explorations et reconnaît quelques nouvelles cavités (Aven de
Perasse, grotte de la Falaise). Il est tout particulièrement attiré par l’aven
des Lauriers indiqué par Boutin, Jeanjean et Cazalis de Fondouce qui avaient
fouillé la grotte par laquelle il débute.
Malheureusement on
l’aiguille sur l’aven cheminée du Laurier (N° 161 de notre inventaire),
cavité sans grand intérêt, et le véritable aven des Lauriers n’est exploré qu’en
1931, en même temps que la grotte de la Route.
C’est en fait en 1948 et
1951 que Bancal et ses collaborateurs, qui explorent le Taurac depuis 1935,
donneront en trois articles (40, 41, 42) une véritable monographie de ce
massif, où l’on peut dénombrer à l’époque environ 80 cavités connues.
En 1967, Michel Lorblanchet
(55) découvre à la grotte de Laroque nº 2 une gravure murale représentant un
bovidé, dans un style original à mi-chemin entre le groupe pyrénéen et le
groupe rhodanien. Il la date du Magdalénien final.
Dans les années 1970, deux
équipes reprennent l’étude d’ensemble du secteur. Le GSUM (C. Mouret) s’attache
plus particulièrement au système du Moulin Neuf, où il réalise d’intéressantes
trouvailles sur lesquelles il publie une série de mises au point remarquables
(63, 68).
L’autre équipe est le
GERSAM, sous l’instigation de René Roux, qui reprend l’étude du système
Lauriers-Maire-Route-Sourcettes. Cette étude donne lieu à toute une série de
publications, le présent inventaire en constituant le prolongement direct.
D’autres clubs, bien sûr,
ont exploré des cavités sur le Taurac. Des bruits invérifiables courent de
bouche à oreille sur certaines cavernes vastes et mystérieuses, connues de
quelques initiés.
Seul le SCAL à réalisé, de
1960 à 1980, une série de travaux publiés, portant notamment sur l’aven de
Pérasse et le système de Combe-Capel.
En ce qui nous concerne,
nous avons donc, depuis 15 ans, consacré une activité considérable à ce massif
très attachant. à vrai dire, nous caressions l’espoir de découvrir une nouvelle
grotte des Demoiselles, un nouvel aven des Lauriers,,ou à la rigueur un nouvel
aven du Pater. Ces espoirs, pour l’instant, n’ont pas été couronnés. Néanmoins,
des découvertes comme l’aven du Point 411, la grotte Aurélie, ou nos
continuations péniblement arrachées aux Sourcettes, à la grotte de la
Route, ou à l’aven du Lierre, nous ont agréablement récompensés. Comme le
montre également cette mise au point, nous avons plus que doublé la liste des
cavités répertoriées dans le Taurac, et ce corpus d’informations ne
pouvait pas rester inédit. Notre espoir, bien sur, est que cette liste de 210
cavités nécessite bientôt la publication d’importants addenda, témoignant
de nouvelles et enivrantes découvertes.
Les auteurs qui ont
participé à ce travail tiennent à ajouter qu’il s’agit d’une œuvre collective
réalisée dans le cadre d’un club, dont il faudrait citer tous les membres. Ont
plus particulièrement travaillé à cette étude du Taurac : J.F. BRUN, Th. COSTE,
R. ROUX, J.R. TEMPLE, J.M. COLOMINA, D. BERNARDO, A. MARCHI, F. CIVEYREL, P.
VINCENT, E. BRUN-MICALLEF, J.P. PALOC, G. SAYD, G. et P. SFERLAZZA, J. CHERY,
G. BARRAU... mais cette liste n’a rien de limitatif.
Nous tenons tout
particulièrement à remercier notre maître et ami H. Paloc et ses collaborateurs
du BRGM pour l’accueil chaleureux qu’ils nous ont toujours réservé lors de nos
travaux de documentation dans leur service régional de La Pompignane
(Montpellier).
Les cavités sont classées
par commune et par ordre alphabétique.
gravure murale grotte de Laroque nº 2
1 - Aven Agnès
712,85 - 180,90 - 356 ?
Coordonnées incertaines
discordant avec l'altitude. Puits de 12 m bouché. GSUM 1972 (59, 63)
2 - Grotte de l'Anticlinal
712,62 - 180,37 - 185
A 5 m du pied de la falaise,
entrée dans le pli de l'anticlinal visible bordant au sud la faille de la Comba de la Rotlada. Porche 0,8 x 0,2
défendu par un surplomb. Petite salle et fissure remontante impénétrable.
Poteries préhistoriques. GSG. Bancal, Valat, 1935 (41, 53c)
3 - Grotte N°2 de l'Anticlinal
712,60 - 180,41 - 21 5
5 m N du chemin balisé en
bleu de la draille à la grotte des Renards, 3 m en contre-haut, en bordure
d'une coulée d'éboulis. Orifice 1 x 0,4. Salle 7 x 2,5 x 1. Etroiture et
galerie E de 8 m. L= 15m. GERSAM 28-5-81 (81)
4 - Grotte N°3 de l'Anticlinal
712,62 - 180,46 - 245
Au bas des falaises dominant
la vire qui surplombe en rive gauche la Comba de la Rotlada. Orifice 0,8 x 1.
Grotte remontante WE. L = 5 P = +3. Courant d'air. GERSAM 28-5-81 (81)
5 - Grotte N°4 de l'Anticlinal (ou "Bauma Gotenta")
712,67 - 180,44 - 285
Vaste porche 6 x 5 visible
de la grotte des Renards. Galerie remontante de 21 m (+ 10) donnant sur une
cheminée impénétrable rejoignant à + 20 la surface dans une crevasse de lapiaz.
Orientation WE. GERSAM 28-5-81 (81 ) Portée sur la carte de D. Dainat (56) et
fichée au BRGM (82) sous le n° 963(2) :47.
6 - Grotte N°5 de l'Anticlinal (ou "Bauma facultosa")
712,65 - 180,39 - 295
Porche 2,5 x 2 avec arbre,
sous un surplomb, visible dans la falaise. Salle S-SE (3 x 2 x 2) remontée E
donnant sur une entrée supérieure 0,8 x 0,5. L = 9 m P = + 3,5
A noter un porche voisin
(n°5 bis) communiquant par un passage impénétrable avec cette cavité (81).
7. Grotte N°6 de l'Anticlinal
712,65 - 180,38 - 260
Accessible à partie de la
précédente par un rappel de 30 m avec pendule. Comprend un porche 3 x 3 sans
suite dominant une entrée d'aven 2 x 2 qui débouche à -2 dans une courte
galerie de 4 m s'ouvrant à l'extérieur par un porche 2,5 x 2 et se terminant
par une cheminée de + 1,5. Orientation ESE puis NE. D = 7,5
m. P = -2. GERSAM 15-11-81 (81)
8. Grotte N°7 de l'Anticlinal
712,65 - 180,36 - 290
Sur la vire dominant l'anticlinal
et surmontée par la falaise ou s'ouvrent les deux précédentes, dans un petit
cirque sur le sentier de la Comba de la Rotlada à la Jalbertassa. Orifice 0,7 x
1,2. L = 3 m orientée NS, bouchée par la concrétion. GERSAM 24-1-82 (81)
9 - Grotte N°8 de l'Anticlinal (= des Gours)
712,65 - 180,37 - 290
A 10 m de la précédente,
porche de 4 x 1,2. Laminoir ESE. L = 19 m GERSAM 24-1-82 (81)
10- Grotte de l'Arc Naturel
712,63 - 180,25 - 240
A 8 m en contre-haut de la
Jalbertassa. Au-dessus de la grotte des rats, 30 m avant un petit cirque GSG
1934. Bancal et Valat: "A signaler, sur la corniche
d'accès et au-dessus de la grotte des Rats, une baume qui forme arc naturel." (41)
11- Grotte N°2 de l'Arc Naturel
712,62 - 180,36 - 180
à 20 m S de la grotte N°1 de
l'anticlinal, en pied de falaise. Porche 3 x 2,5. L = 5 m ENE
(81)
12- Grotte N°3 de l'Arc Naturel
712,62 - 1 80,35 - 1 80
A 15 m S de la précédente,
et 15 m N de la grotte des Rats N°1 Orifice 2,5 x 1 et entrée supérieure 1,5 x
1,5 cachée à 5 m du bas de la falaise. L=5m.P=+10.D=85m(81)
3- Grotte N°4 de l'Arc Naturel
712,62 - 180,34- 197
En contre-haut de la N°3,
accessible par un couloir à partir de l'entrée supérieure Orifice 1 x 1 boyau
de 4 m se terminant par une salle-cheminée. (81)
14- Grotte N°5 de l'Arc Naturel
712,63 - 180,25 - 230
10 m NE de la N°1, sur la
vire de la Jalbertassa. Orifice 1,5 x 2. L = 13 m. P = + 5 Courant d'air (81).
15- Grotte N°6 de l'Arc Naturel
712,64
- 180,26 - 230
19 m NNE de la précédente,
orifice 1,2 x 2. Simple abri long de 4 m, Intérêt préhistorique. (81)
16- Grotte N°7 de l'Arc Naturel
712,64 - 180,28 - 230
16 m NE de la précédente, orifice 1 x 2. L = 3 m
17- Grotte Aurélie
712,39- 180,54- 170
(Vasseur: X=712,31 Y=180,63 Z=156.)
Bord Nord de la draille
dominant la route Montpellier-Ganges à 200 m en aval de la carrière-Parking de
l'aven des lauriers. Ouvert par D Bernado le 4-2-73 et ainsi baptise en
l'honneur d'Aurélie, fille du spéléologue J.M Colomina (61,62). Un boyau de 3 m
débouche sur un balcon surplombant une salle 20 x 10 x 10 contenant un puits de
9 m siphonnant (impénétrable à -33 plongée Gilbert Francziakis le 30-9-73). Au
sud de la salle du siphon vers l'E trou aspirant en été (le fumigène ressort
aux Sourcettes le 18-11-73) succession de salles vers l'Est (toutes orientées
NS et réunies par des passages bas). La salle terminale 25x7 est colmatée à
-16. L = 120 m P = -33. Une série de belles fistuleuses de la cavité (Les plus
longues de France à l'époque) à été saccagée par les nombreux visiteurs.
18- Grotte supérieure d'Aurèlie
712,38 - 180,54 - 180
Sur une vire en contre-haut
Aurèlie Orifice 1,5 x 1,5. Boyau WE de 3 m remontant. Courant d'air. L = 4 m.
19- Aven Cabanis
712,99 - 181,19 - 336
En bordure N d'une doline 20
x 20, 50 m SE du chemin des Rouvières
au Bòsc del Grand Sèrre. Orifice 3 x
3. Puits de 11 m . Salle 13 x 16 x 6 où l'éboulis descend à -24. Quelques concrétions
massives. à l'W galerie descendant à -25,5 ou des passages sous plancher
stalagmitique atteignent -26. Diverticule WNW de 8 m (1 x 0,5) bouche par la
concrétions P = -26 L = 35 m GSG 1934 et 4 juin 1950. (41, 82, 53c)
20- Diaclase de la carrière
712,26 - 180,58 - 157
En bordure de la
carrière-parking des lauriers Boyau SWNE de 8 m de long. Courant d'air. GSG
(41, 82, 53c)
21- Aven de la charbonnière (N°4 du Lapiaz)
712,29 - 180,94 - 304
Mal pointé sur la carte IGN.
à 170m SW de son emplacement sur la carte, dans une aire de charbonniers.
Puits de 51 m avec relais à
-15, -25, -51. Fond à -54 GSG 28 Janvier et 29 Avril 1951 (42, 82, 53c)
22- Aven N°2 de la charbonnière
712,25
- 181,03 - 303
80 m NO du precedent. Pénétrable sur 5 m après désobstruction. GERSAM 1982 (81)
23- Aven N°3 de la charbonnière
712,24 - 181,03 - 302
A 10 m W du précédent, puits
très étroit de 7,5 m, salle 6 x 3 x 4. Fond à -9,5. GERSAM 1982 (81)
24- Aven N°4 de la charbonnière
712,26 - 181,03 - 303
10 m E du N°2. Orifice 2 x 1,5. Désobstrué jusqu'a -2 par le
GERSAM en 1982 et 1983 (81)
25. Grotte de la charbonnière
Au voisinage des avens
précédents, en rive droite de la combe Capel. Petite grotte à l'entrée murée
pouvant servir de bivouac. Inédite.
26- Aven N°1 du chemin
Cavité non située explorée
par le SCM en 1966 (53)
27- Aven du chemin de la roquette
713,56 - 180,56 - 406
A 5 m du mur de limite
communale. Orifice 1 x 1. Puits de 6 m, pente jusqu'a -12 = salle 6 x 12 NS. GSG
(41, 53c).
28. Grotte-Aven de la Chèvre ou Bauma Doça
712,47 - 180,55 - 235
Porche ogival 2,5 x 3 au
fond du cirque dominant à l'E la grotte Aurélie, 90 m ENE de celle-ci. Une
ancienne draille partant du plan des Abeillaires conduit au voisinage de son
orifice. Seconde entrée, aven 2 x 2,5 dans les rochers en contre-haut, 35 m NW.
Troisième entrée ouverte le 24-5-81 à 5 m au dessus de celle-ci.
Galerie horizontale de 70 m
dirigée vers le NW. à 20 m du fond, elle recoupe un réseau subvertical
provenant de salles supérieures (+20) et rejoignant une galerie inférieure
(-13), ouvert sur la surface par un puits d'effondrement de 17 m (seconde
entrée) que rejoint également la troisième entrée.
L = 130 m. P = -32 et +4
(par l'entrée aven) D = 185 m
GSG 1936-1950 (41), GERSAM
1981 (81), citée par Paloc (53c) et Vallon (54).
29- Grotte N°2 de la Chèvre
712,48 - 180,54 - 235
Porche 4 x 3 à 20 m ESE de
la précédente, au pied de la même falaise dans un renfoncement. Galerie de 10 m
SN, puis 6 m EW (1 x 2,5) remontante, remontée de 5 m verticale, salle 5 x 3 x
6 se terminant par un aven remontant. L = 24 m. P = + 14. D = 43. Découverte
d’une calotte crânienne humaine. GERSAM 114-81 (81 )
30. Grotte N°3 de la Chèvre
712,47 - 180,56 - 245
Sur une vire dominant l'entrée
de la N°1. Porche 1,5 x 1,5. Galerie de 10 m. Salle 3 x 2 x 2,5. L = 14m. D=
18.
GERSAM 1 14-81 (81)
31. Grotte n° 4 de la Chèvre
712,47 - 180,56 - 245 m
à 4 m N de la précédente sur
la même vire Porche 1,5 x 1. Salle 2 x 2 x 2,5. L = 3
m. GERSAM 11-4-81. (81).
32. Grotte n° 5 de la Chèvre
712,46 - 180,53 - 210 m
En contrebas de la n° 1 dans
le cirque, au fond d’un renfoncement des falaises. Orifice 2 x 3. Galerie
remontante SN. L = 4- P = +4- GERSAM 23-2-73. (81).
33. Grotte du Cirque de la Chèvre
715,44 - 180,56 - 220 m
Au pied d'une falaise
dominant la piste du plan des Abeillaires au Cirque de la Chèvre, 20 m avant
celui-ci. Bouche 0,4 x 0,35. Laminoir pénétrable sur 4 m. Doit être un débouche
de l'étage inférieur de la n° 1.
34. Aven n° 1 de Combe Capel
712,60 - 181,11 - 316 m
Porté sur IGN. Entrée très étroite cache-e derrière un buisson au
SW du tournant du chemin. Désobstrué par le GSG en 1936- Diaclase pénétrable
jusqu'a -45. (41,53c).
35. Aven n° 2 de Combe Capel
712,71 - 181,09 - 331 m
Cavité portée sur IGN, 100 m ESE du n° 1. Visible au bord du
chemin. Orifice 1 x 0,5. Descente oblique dans une diaclase jusqu'a -18. Puits
vertical pénétrable jusqu'a -55. Orientation SWNE. Désobstrué par le GSG en
1939. (41,53c).
36. Diaclase de Combe Capel
712,61 - 181,22 - 310 m
à 100 m N du n° 1. Trou souffleur à désobstruer. Porté IGN. GSG
1950. (41,53c).
37. Faille de Combe Capel
712,58 - 181,13 - 314 m
à 30 m NW du n° 1. Orifice 3
x 1. Désobstrué par le SCAL en 1972 et 1974 jusqu'à -11 m. Courant d'air chaud
en hiver.
38. Grotte de Combe Capel
712,59 - 181,09 - 312 m
à 20 m S du n° 1. Trou
souffleur désobtrué le 6-2-80 sur 5 m (P = 1,5).
39. Aven de la Combe du Renard
712,40 - 180,78 - 240 m
Dans le thalweg de Combe
Capel. P = -10. GERSAM 1973. (61).
40. Grotte de la Corniche n° 1 (Grotte des Contrebandiers) = Grotte n° 10
712,24 - 180,65 - 185 m .
50 m NNW de la
carrière-parking des Lauriers, 100 m E de la grotte n° 2 de Laroque, 35 m en rive
droite du débouche de la Combe Capel Porche 5 x 2 mure donnant sur une salle 20
x 3 x 3 prolongée au N d'une galerie de 8 m- Un orifice supérieur donne sur une
baume voisine. L = 28 m. (40,53c,76).
41. Aven des Contrebandiers
712,22 - 180,65 - 185 m
21 m W de la grotte
précédente Orifice 1,2 x 1,7. Porche SN de 5 m se prolongeant vers en haut par
une cheminée de 15 m avec 3 porches superposés. (76).
42. Grotte n° 2 de la Corniche (grotte n° 11)
712,26 - 180,63 - 185 m
23 m E de la n° 1, 12 m W du
thalweg de la Combe Capel. Orifice 0,8 x 0,5. Boyau de 4 m vers le NW.
(40,53c,76).
43. Grotte n° 3 de la Corniche (grotte n° 12)
712,27 - 180,64 - 186 m
13 m en rive gauche de la cascade de Combe Capel, sur la même
vire. Orifice 2 x 1. L = 11 m ENE. (40,53c,76).
44. Grotte de la Corniche n° 4 (grotte n° 13)
712,27 - 180,61 - 188 m
13 m SE de la précédente en
dessous de l'aven éventré de la Poudrière, à 21 m de l'angle de la falaise.
Orifice 1,5 x 1,5. L = 5. P = + 3. Orientation WE. -A noter 3 petites cavités
orientes SN sur la même Vire entre cette grotte et l'aven de la vire: d'W en
elles mesurent 4,3 et 2 m de long. (40,53c,76).
45. Aven Couloubis (Grotte du Truc de l'Ayrolle)
712,35 - 181,03 - 324 m
30 m SW de la cote 324 IGN
Bouche 5 x 3. Pente vers l'WSW jusqu'a -6- L = 5 m (40,41,53c)-48.
46. Aven Couloubis n° 2
712,48 - 181,17 - 310 m
Aven porté sur la carte IGN sous le nom d'Aven Couloubis, ce
nom appartenant en réalité à la cavité précédente que la carte ne mentionne
pas. 200 m NE de la cote 324 du Truc
de l'Ayrolle, 50 m en rive gauche d'une combe SN, sur un petit replat lapiazé
100 m S du chemin de Laroque à la Combe Capel. Orifice 1,5 x 0,5. Diaclase
jusqu'a -7 recoupant une diaclase 3 x 0,4 x 4 descendant au SE à -8 où une autre diaclase orthogonale est pénétrable jusqu'à -13 . à 10 m SE
trou subvertical pénétrable jusqu'a -5 qui doit recouper la suite: ce trou
soufflait le 13 1-8 à alors que l'aven n° 2 de Couloubis aspirait.
47. Bauma Doça (Grotte du Lion - Grotte de Laroque n° 1)
712,16 - 180,65 - 175 m
Au pied de la première falaise juste en dessus de la grotte du
Maire. Vaste porche et salle 25 X 10
avec des piliers massifs, bouchée au fond par la concrétion. Pour A. Bancal (40)
cette grotte est l'ancien exutoire aval de la salle du fond de 1'aven des
Lauriers.
(6, 8,
9,10,12,13,15,19,20,21,24,26,40,41,53b,53c,54,55,76).
48. Trou de la Draille
712,33 - 180,56 - 165 m
Au milieu de la draille, effondrement de 3 m dans le poudingue,
correspondant avec le réseau 1976 de la grotte des Sourcettes par un pertuis
impénétrable. (62,76).
49. Grotte n° 1 de la Draille
711,96
- 180,62 - 175 m
170 m W de la grotte du
Maire, 4 m en contre haut de la Draille 20 m après une falaise qui la surplombe
au N, et 15 m NNE d'un poteau électrique. Entrée 1,8 x 1,8. Apres 2 m direction
N, bifurcation:
- à gauche trou souffleur
déblayé en 1973 par le GERSAM (salle latérale avec 2 squelettes portant des
bracelets en bronze);
- à droite salle 8 x 4 x 5
poursuivie à l'ENE par une galerie complexe se dirigeant vers l'aven-grotte
effondré n° 1.
En 1982 le GERSAM désobstrue
une trentaine de mètres de diverticules nouveaux. L =
126. Dt = 190m. (40,41,53c).
50. Grotte n° 2 de la Draille
711,95 - 180,62 - 178 m
A 25 m à gauche de la
précédente, 3 m en contre-haut, au pied d'une rancarède de 10 m.
Porche 1,5 x 1,8. Galerie
SWNE impénétrable au bout de 8 m. à l'entrée, petit aven étroit bouche à -2
(41,53c).
51. Grotte n° 3 de la Draille
711,96 - 180,63 - 180m
A 10 m de la n° 1, 4,50 m en
contre-haut dans un renfoncement de la falaise. Orifice 1 x I triangulaire.
Boyau de 2 m obstrué par une
brèche ossifère.
52. Grotte n° 4 de la Draille
712,04 180,65 - 190 m
A 20 m E de l'Aven-grotte effondré
n° 1, 3 m en contre-haut, dans un conglomérat calcité.
Trou souffleur désobstrué en
Février 1972 par le GERSAM.
Bouche 0,6 x 0,5. Boyau
oriente au N puis à l'E donnant à -2 dans une salle 2 x 1 x 0,5. L = 5
53. Aven-grotte effondré n° 1
712,02 - 180,64 - 187 m
A 50 m E de la grotte n° 1
de la Draille, 12 m en contre-haut de la draille, en sommet de falaise sur une
vire. Bouche 0,8 x 0,8. L = 13,5. P = -3. Dt - 18 m. Souffle en hiver.
(40,41,53c).
54. Aven-grotte effondré n° 2
712,11 - 180,76 - 238 m
à 120 m de l'entrée
supérieure de l’aven des Lauriers sur la piste balisée en bleu rejoignant
l'aven de Perasse Entrée dans un massif de calcite. Descente sur un éboulis en
pente jusqu'a 4. Aurait été autrefois bien plus profond. (41,53c,67,76).
55. Aven-grotte effondré n° 3
712,27 - 180,71 - 235 m.
Au pied d'un « gendarme » (monolithe vertical
forme par l'érosion), ses deux entrées trouent un éperon. Ancienne grotte
arasée (calcite en surface) dont il ne reste qu'un tunnel résiduel de 5 m de
long (P = -2).
56. Aven Erant
712,77 - 180,81 - 316 m
150 m NE de l'aven n° 2 du
Plan des Abeillaires. Trou désobstrué en 1938 par le GSG, pénétrable jusqu'a
-7, semblant se prolonger sur 10 m en diaclase' impénétrable. (41,53c,82).
57.Fissure de la Falaise
712,29 - 180,58 - 165 m
Au pied de la falaise surplombant la draille au dessus de la
grotte de la Poudrière. Fissure désobstruée jusqu'a -1, constituant une entrée
supérieure de la grotte de la Poudrière (liaison prouvée au fumigène en 1973).
(62,76).
58. Aven du Feu 712,80 - 180,44 - 310 m
Au bord d'un chemin 250 m S de l'Aven n° 1 du Plan des
Abeillaires, près d'une charbonnière, 110 m
E de la grotte n° 4 de l'Anticlinal.
Entrée effondrée dans la
terre: 0,4 x 0,4.
Descente dangereuse dans des
matériaux instables (cailloutis et terre) jusqu'à -14. Léger courant d’air.
59. Aven de la Fourmilière 712,48 - 180,58 - 270 m
De la grotte des Renards suivre vers W la corniche jusqu'a l'angle
ou elle oblique vers le NW. Aven à 25 m
de la falaise, sur un belvédère, désobstrué le 21 Mai 1950 par le GSG.
Puits de 15m. Salle 8x5x5
concrétionnée (gours, perles) orientée SN. Un ressaut conduit à –17.A –15 vers
l’W salle 7x4x2 et sortie à –12 par un porche 1x0,5 désobstrué par le GERSAM le
4-2-73. Cette seconde entrée (712,47-180,58-258m) s’ouvre 10m W de l’entrée
initiale. (41, 53c, 81, 82).
60. Grotte n° 1 de la
Fourmilière 712,46
- 180,58 - 263 m
A
10m W de l’entrée inférieure de l’aven précédent. Bouche curieuse 2,5x0,5 sous une strate dénudée.
Salle 27x5x5 orientée SN. L=32. P=-5. GERSAM 11-4-81. (41, 52c, 81, 82).
61. Grotte n° 2 de la Fourmilière 712,49 - 180,59 - 271 m
A 20 m ENE de l'aven du même
nom.
Porche 3,5x3. Salle de 2x2x1
aménagée d'un petit mur L = 5 m. (81).
62. Aven du Chemin de l'Hôpital 711,66-181,07; 190m
GSG Le 1° mars 1951. A 10
mètres à l'est d'un chemin et à 10 mètres au sud d'une murette. Petit orifice,
puits de 13m. P=-13. (42, 53c).
63. Trou souffleur de l'Hôpital 711,67 - 181,13 - 190 m
A 15 m ESE de l'aven, à
désobstruer (42,53c).
64 Aven de l'Issart Long. 712,80 - 180,94 - 316 m
A 200m ENE de l'aven n° 3 des Abeillaires, entrée en forme de
croix, donnant à -6 sur une salle 2x3 poursuivie par une fissure impénétrable.
(41,53c).
(agrandir les cartes en
cliquant dessus)
65. Aven no 1 du Lapiaz 712,26 - 180,88 - 290 m
230 m NNE de l'Aven des
Lauriers. P = -10 m. (40,41,4 ,53c,76)
66. Aven n° 2 du Lapiaz 712,29
- 180,86 - 285 m
50 au SE 1/4 S du n° 1. P =
10 m. (40,41,42,53c,76).
67. Aven n° 3 du Lapiaz 712,26 - 180,88 - 290 m .
A 5 m NE de l'Aven n° 1, à 3 m d'une muraille longée par un
sentier venant de l'aven de Perasse. GSG les 18 janvier et 4 février 1951. Puits de 9 et 63 m. P = -95 m.
En Mars 1970 le SCAL franchit le trou souffleur du fond et découvre une
salle de 30 m de long (42 ,53c) .
68. Aven n° 5 du Lapiaz 712,29 - 180,88 - 285 m
Pour le n° 4 du même nom
voir au n° 21 du present inventaire. Le n° 5 s'ouvre à 25 m E du n° 3 dans les
broussailles. Orifice 1,5 x 1. P = -2,5 m.
69. Grotte Magdalénienne de Laroque (Grotte de Laroque n° 2 ou grotte
de la Vache) 712,15 - 180 65 – 185m
A 10 m au dessus de la Bauma Doça, accessible par des
escaliers rustiques. Porche 7 x 4 dans une baume. Galerie NE de 16 m (3 x 2)
puis galerie NNW remontante de 3 m obliquant au NE sur 2,5, puis obstrué par le
remplissage. L = 27,5 m. P = + 3. Sur la paroi stalagmitée de droite à l'entrée
se trouve une gravure magdalénienne M. Lorblanchet et représentant un bovidé.
Cette grotte semble avoir été occupée des le Moustérien. (6, 8, 9, 10 ,11 ,12,
13,18, 19, 20, 21, 24, 26, 40, 41, 53b, 53c, 54, 55, 76).
70. Grotte n° 3 de Laroque (n° 2 du Lion, n° 3 de la Vache) 712,19 - 180,65 - 198 m
Entrée 3,5 x 1,5 avec
piliers. Abri long de 5 m.
71. Aven des Lauriers 712,17
- 180,66 - 227 m
Accessible par une piste
montant sur le plateau à partir de la grotte du Maire. On trouvera une entrée grotte
(grotte des Lauriers 712,15 - 180,65 - 208) sur le bord N de ce sentier 19 m en
dessous de l'entrée aven. L'aven des Lauriers, profond de 109 m, développe plus
de 800 m de galerie. Il a fait l'objet de plusieurs monographies qui nous épargneront le plagiat
d'une nouvelle description.
(5,8,9,10,12,13,15,18 24 26
32,37,40,41,51,52,53c,54,55,56,59,72,76).
72. Grotte N°2 des Lauriers
712,15 - 180,64 - 200
A 10 m de l'entrée de la grotte
des lauriers et 8 m en dessous, 5 m W de la grotte de Laroque N°2 dont elle
constitue un étage supérieur tronqué. Porche 0.5 x 1. Galerie ENE de 3m se
terminant sur une cheminée. A désobstruer au fond.
73. Grotte N°3 des Lauriers
712,19-180,65 - 199
A 75 m E de la précédente
Entrée moussue 0,5 x 0,8. Cette courte excavation de 3,5 m de long (+0,5) doit
correspondre aux trémies latérales de la grotte N°1 des Lauriers.
74. Aven Louis Mazet N°1
712,12 - 180,66 - 205
Dans un renfoncement en pied
de falaise 25 m avant la grotte des lauriers.
Entrée 0 4 x 0 5, ressaut de
3,5, descente jusqu'a -8, ressaut de 4 m, pente jusqu'à -19 (tessons de poterie
noire lustrée) ressaut de 4m et à -26 etroiture désobstruée dans une breche
ossifere, donnant sur une salle ffnale a-30. L= 80m;
Dt = 142 m (40, 41, 53c).
75. Aven Louis Mazet N°2
712,34 -181,28 - 260
Entrée très étroite
désobstruée au fond d'un ravin. Puits de 18 m avec relais à -5 cône d’éboulis
dans une salle 25 x 10. Bas à -29. (41, 53c, 82)
76. Grotte Louis Mazet
712,34 - 181,28 - 260
Située à 20 m du précédent
Longue de 8 m. (41, 53c, 82)
77. Aven du Maire
712,12- 180,64- 170
A 7 m N de la draille, 15 m en
amont de la grotte du Maire (N°s8 de cet inventaire). Entrée en porche 2 x 1,5.
Puits subvertical de 8 m donnant dans une salle circulaire 20 x 8 x 5 dont le
grand axe est WNW. P = -12 (40, 41, 53c, 76, 82)
78. Grand porche du MoulinVieux
712,58 - 180,16 - 230
Vaste orifice dominant la
vire de la Jalbertassa au dessus du moulin Vieux, en aval de la grotte de l'Arc
naturel (N°10 de cet inventaire). (41, 53c, 82)
79. Perte du Moulin Vieux
712,53 - 180,23- 125
Rive gauche de l'Hérault en
dessous du moulin Vieux. Absorbait 30 I/sec à l'etiage le 27 Juin 1965. Resurge
aux Chataîgners, 480 m en aval, 9 jours après. Découverte par Henri Paloc (53c)
80. Aven de Perasse
712,07- 180,98-258
Vaste entrée portée sur la
carte IGN, accessible par un sentier balise. Puits de 13 m dans une diaclase
NESW (terminus R de Joly 1929). Vers le N désobstruction SCAL en Juillet 1970
donnant sur un puit de 18 m et fond dans une salle à -5. Remplissage riche en
vestiges ostéologiques pléistocènes (28, 41, 53c 60)
81. Aven N°1 du plan des Abeillaires 712,76 -180,69 - 310
Orifice porte sur la carte
au bord du chemin de chars du Pater à Combe Capel. Dôme de calcite aux abords
de l'entrée. Bouche de 2 x 2, puits de 12 m, salle 11 x 6 NWSE avec éboulis
(GSG 1935). Au NW boyau déblayé (GERSAM 1973) donnant sur une petite salle.
Travaux poursuivis le 24-4-82, donnant sur une diaclase de 10 m de long avec
trace d'écoulement temporaire, devant rejoindre l'Aven N°2. Fond à - 20. (41,
53c, 81, 82)
82. Aven N°2 du plan des Abeillaires 712,77 -180,70 - 311
A 10 m NNE du N°l, ouverture
2 x 1. Puits subvertical bouché à -7. Fond 2 x 1 avec un diverticule étroit.
(41, 52c, 82)
83. Aven N°3 du plan des Abeillaires 712,95 - 1 80,60 - 325
A 200 m ESE du N°l . Orifice
1 x 1. Bouché à -6 par l’éboulis (41, 53c, 82)
84. Grotte de la Poudrière 712,28-180,57-160
Au dessus de la route dans
le remblai, 15 m en aval de la carrière-parking des Lauriers. Porche 3,1 x 1,7.
Première salle sw-ne (4,5 x 3 x
1,7) suivie d’une étroiture désobstruée par le GSG donnant sur une salle
montante 4 x 1 x 1 donnant après une galerie 4,3 x 1 x 0,5 aboutissant à une
salle 1 x 1 x 2 (terminus GSG). Une étroiture au N désobstruée par le GERSAM
donne sur une salle 2,5 x 5 x 4 suivie au NNE d'un laminoir désobstrué sur 4 m
aboutissant à un réduit circulaire 3 x 3 x 1 Suivi au NE d'une salle basse 10 x
5 x 0 5 surmontée d'une galerie WNW de 8 m L = 59 m P =+10. (41, 53c, 62, 76,
82).
85. Grotte N°2 de la Poudrière
712,32 - 180,65 - 233
Deux entrées 1 w 2 et 0,4 x 1
(cette dernière murée) sur une falaise exposée à l'W, donnent sur une salle 3 x
1,5 x 2 suivie d’un boyau de 12 m, d'une salle 2,5 x 1 x 2 et d'un conduit de
4,5 m E. Direction de l’ensemble: WE. L = 21. D = 30. (79, 81)
86. Grotte N°3 de la Poudrière
712,27 - 180,64 - 205
Située 5 m en rive gauche de
la Combe Capel, 10 m en amont de la cascade dominant la draille. Bouche 0,4 x
1,5, longueur 11 m WE.
87. Aven éventré de la poudriere
712,27 - 180,61 - 220
Vaste cheminée trouant la
falaise en rive gauche de Combe Capel. C'est un ancien aven totalement éventré.
88. Baume aérienne de la Poudrière
712,30 - 180,59 - 220
A 30 m du précédent, baume
s'ouvrant au milieu de la falaise de 20 m surplombant la vire.
89. Grotte du Rascle de la draille
712,01 -180,68- 190
A 25 m en dessus de la
draille, 130 m W de la grotte du Maire, au dessous d@une petite
"rutla" dominant la falaise mentionnée à propos de la grotte e la
draille. Orifice 2 x 1, salle concretionnée 7 x 5 x 2,5. Orientation SE. L = 15
m. P = -4. GERSAM 27-11-77 (R.Roux) (73)
90. Grotte des Rats
712,62 - 180,33 - 190
Porche 5 x 5 au dessus d'un
petit cirque 50 m S de la grotte de l'anticlinal, 10 m au dessus du pied de la
falaise. Galerie vaste sur 12 m puis étroiture désobstruée donnant sur deux
salles concrétionnées sans suite. Devait correspondre avec la N°3 de l'Arc
Naturel située 15 m N.
L = 29 m. P = + 3
(étroiture) et + 1 (fond) (41, 53c, 82) .
91. Grotte N°2 des Rats (Baume ogivale)
712,63- 180,33-210
Deux entrées (2 x 3 au NW et
2,5 x 3 au SW) communiquant par une belle galerie de 13 m (9 m ESE et 4 m SSW)
en méandre, qui perce une avancée rocheuse. Ammonite enchâssée dans la paroi de
l'entrée SW.
92. Grotte N°3 des Rats (Grotte de l'Ammonite)
712,63 - 180,32 - 210
A 10 m S de la précédente
Orifice 0,8 x 0,5 suivi de 2 m E, 2 m SE (salle 1,5 x 1,5 x 1) et 5 m E (0,8 x
0,8). Bouchée au fond. L = 9 m. Ces deux grottes s'ouvrent sur une corniche
touffue en contrebas du tournant en fer à cheval de l'itinéraire balisé rejoignant
l'extrêmité N de la vire de la Jalbertassa.
93. Grotte N°4 des Rats
(Grotte du Metatarsien)
712,67 - 180,31 - 270
Porche 1 x 1 dans un ressaut
rocheux dominant directement la piste rejoignant la Jalbertassa à partir
du Plan des Abeillaires, le long d'un thalweg escarpé. Galerie ESE
bouchée après 11 m par un remplissage concretionné qui tangente la voûte.
Ossements humains et céramique correspondant à une sépulture du bronze II
(P.Vincent, sondage du 25-1-82).
94. Grotte des Renards
712,64 - 180,57 - 290
Porche 15 x 3 sur le bord W du sentier de la grotte
N°2 de l'Anticlinal au Plan des Abeillaires, en rive droite de la Comba
de la Rotlada, sur une aire de charbonniers. Simple abri.
La carte IGN pointe sous ce
nom une autre cavité qui doit être la N°3 de la corniche ou l'Aven sans fond de
la Poudrière. L'authentique grotte des Renards décrite par A. Bancal (41) ne
peut être que cette caverne. (41, 53c, 82)
95. Grotte N°2 des Renards
712,56 -180,49 - 210
A 190 m E 1/4 SE de la
grotte Aurèlie, sur une vire intermédiaire. Porche 2,5 x 1,5 surmonte d'une
entrée secondaire 1,5 x 1,5. galerie de 3 x 3 sur 9 m, puis de 3 x 1 sur 5 m, d
orientation SWNE, bouchée par une coulée. L = 14 m (81). Traces d'aménagement
(mur, poteries énéolithiques).
96. Grotte N°3 des Renards
712,63 - 180,51 - 260
Sur le bord W du sentier de
la comba de la Rotlada. Bouche 2 x 2, excavation de 5 m s'enfonçant vers
l'E.
97. Aven du Rocher du Pin
715,12 161,62 - 465
A l'angle NE du rocher,
puits 1 x 1 bouche à -8 par les pierres. Devait communiquer avec le trou de
l'Aigle situé 25 m plus bas dans la falaise. GSG 1936 (41, 53c, 82).
98. Grotte de la Route et grotte du Maire
712,23 -180,58 -156 (Route)
et 712,13 -180,64 -170 (Maire)
La grotte de la Route s'ouvre
au bord N de la N586 à 20 m W de la carrière-parking des lauriers C'est une
galerie de 160 m se terminant sur des lacs en relation avec le réseau
souterrain Rieutord-Sourcettes. Le GERSAM, en 1980, y a découvert un
diverticule de 40 m s'embranchant au dessus du fond, et d'un système de salles
supérieures décorées se dirigeant vers les salles S de l'aven des Lauriers.
La grotte du Maire (portée
sur la carte IGN) s'ouvre sur le bord N de la draille dominant la route, 55 m
en amont de la carrière. Longue de 310 m, elle se termine sur un trou souffleur
ou le SCM en 1981 à progresse de 12 m, s'arrêtant sur une trémie stalagmitée. A
mi-parcours, un puits de 12 m rejoint la grotte de la Route sous-jacente. Ces
deux grottes constituent un étage inférieur de l'aven des Lauriers, développant
plus de 600 m.
(31, 32, 39, 40, 41, 52,
53c, 56, 76, 78, 79, 80)
99. Aven N°l de Saint Bres
711,94 - 180,80 - 216
A 25 m NW du N°2 dans un
lapiaz boisé. Etroite diaclase donnant à -6 sur une étroiture suivie d'une
série de diaclases jusqu'a -30. (42, 53c)
100. Aven N°2 de Saint Bres 712,00 -180,77 - 208
A 150 mètres au nord de
la Chappelle en ruines de Saint Pierre,
bouche 1 x 0,4. Fond à –22. (42, 53c, 82)
101. Diaclase de Saint Bres (=aven N° 3 de Saint
Bres)
712,00 -180,78 - 210
A 20 m N du précédent,
diaclase soufflante signalée par A. Bancal. (42, 53c, 82)
102. Aven de Saint Pierre
711,85 - 180,64 - 180
A 40 m E de la chapelle en
ruines de ce nom, en fond de thalweg. Petit aven-perte sur diaclase NE-SW,
pénétrable jusqu'a -4. (42, 53c, 82)
103. Aven N°2 de Saint Pierre
711 ,77 -180,71 - 172
Au bord E de la draille, 80
m NW de la chapelle en ruines et 20 m SSE d'lssert, en rive droite du thaweg
descendant de la chapelle de Saint Pierre.
104. Baume de Saint Pierre
711,74 - 180,74 - 170
40 m après le précédent en
allant vers Laroque, au bord E du chemin. Porche 2 x 2, abri de 5 m s'enfonçant
vers le SE.
105. Grotte des Sourcettes
712,35 - 180,53- 158
S'ouvre par un porche 1,35 x
1,35 situe à 2,5 m en dessus de la route, dans un renfoncement indiqué par un
arbuste, 150 m en aval de la carrière-parking des Lauriers. La première partie,
longue de 107 m à ete explorée par le GSG en 1950. Elle comprend la galerie G
Valat (qui rejoint à l'ESE une deuxième entrée 1 x 0,7 située 12 m SE de la
précédente et que nous avons ouverte en 1973) et une salle SWNE se terminant
par un trou souffleur. En 1974, 1976 et 1979, nous avons ouvert successi\lement
une série de continuations portant à 416 m le developpement (280 m en
projection plane) dont la description et l'étude detaillées se trouvent dans
nos publications de l'epoque.
Connue par le G.S. Gangeois
depuis 1936 (A. BANCAL et G. VALAT, Ann de Spéléo, 1951 (6) fasc. 2-3, p. 89)
sur un développement de 180 m environ. En 1950,ces auteurs observent la
disparition d’une galerie de 20 m au bas du P4,5. En 1973, le GERSAM reprend la
cavité, découvre une seconde entrée et un trou souffleur dont la désobstruction
est entreprise (R. ROUX, Bull. Féd. Spéléo Hérault, 1973 ( 3): 61-66). Le boyau
devra être ainsi creuse sur 12 m par notre equipe. Le samedi 2 novembre 1974
une équipe mixte GERSAM-SCAL le franchit enfin. Le 10 novembre, toute l'équipe
explore les 66 ,5 m qui lui font suite (Bull. GERSAM
1974 (6):70-71 et Bull. Fed. Spéléo Hérault 1974 (4) p.45), galerie curieusement récurrente revenant
vers la route. Le chantier est abandonné jusqu'au 23 mai 1976 ou trois membres
du club dressent la topo de la Poudrière et décident d'attaquer de trou
souffleur situe à l’extrêmité Nord. En quelques heures, il est franchi et donne
sur 35 m de galeries aboutissant à une troisième entrée que l'équipe
désobstruera le jeudi 27. En avril 1979, le nouveau terminus est à son tour
attaque. Deux équipes travaillant simultanément sur deux trous souffleurs
différents passeront simultanément dans des continuations entre lesquelles la
jonction sera effectuée (24/04/79). Plusieurs dynamitages realisés depuis lors
n'ont pas permis de continuer.
description
La Partie GSG 1950: par un
porche de 1,35 x 1,35 situe 2,5 en dessus de la route, on accede à une galerie
SN 1,5x1,5 de 5 m debouchant dans une diaclase ESE WNW.
Vers l'ESE un puits de 4,5 m
donne sur la galerie G. VALAT (20 x 0, 3 x 3) @u une cheminée de 6 m rejoint
une galerie en conduite forcée de 9 m onverte par le GERSAM en 1973 et
redonnant sur la route par un porche 1 x 0,7 s'ouvrant 4 m au dessus de la
route à 12 nn SE de l'entrée classique.
Vers l'WNW on débouche dans
une salle 10x 2x 2SWNE suivie de 14 m(2x2,5)NE.
On se trouve devant le trou
souffleur attaque en 1973 ;
La partie connue est longue
de 107 m (soit 152 m en developpement) sans compter environ 40 m qui ont ete
obstrues par des deblais en 1950 et en 1974.
Le reseau GERSAM 1974 commence par un boyau de 12
m SN entierement deblaye dans l'argile (9 seances). Ce boyau débouche dans une
salle carrefour cruciforme 2,5 x 1 x 2 se prolongeant à l'E par une cheminée de
2,5 et une salle WNW-ESE de 6x1x0,5 donnant à l'ESE sur une etroiture
desobstruée, donnant après 3 m dans une petite salle sans issue.
A l'WSW la salle cruciforme
donne Sur un nouveau passage désobstrué 4,5x0,5x0,5 menant à un conduit 3 x 0,8
x 1 creusé selon une diaclase Nl/4NE Wl/4SW qui donne sur une salle cheminée
haute de 6 m par une etroiture.
A 2,5 m de haut cette
cheminée donne sur une galerie 28 x 1,5 x 3 qui revient vers la route (fin sur
trémie).
Revenant au pied de la
cheminée, on accède au trou souffleur désobstrué en 1976.
Le réseau GERSAM 1976 debute
après 2 m d'etroiture EW descendante- Il comprend un système de 35 m de
galeries rejoignant la surface par une seconde entrée et une salle latérale W
par où la jonction avec le trou de la draille est realisée au son.
Les deux terminus Nord,
soufflants en été, aspirants en hiver, de ce réseau 1976 seront attaqués en 1979, donnant sur un double système de
galeries (supérieur vaste et inférieur étroit) réunies par une belle salle 11 x
8 x 7 concrétionnée.
L’extrêmité NW du réseau, où
passe tout le courant d'air, est en cours de désobstruction. Mais nous sommes
très proches de l'aven de la Vire qui
pourrait être tout bonnement l'orifice supérieur du système, expliquant toute
la metéorologie. Il y à la un point que nous nous efforcerons d'élucider
prochainement.
(41,53C,62,64,67,69,74,75,76,78,82)
106. Grotte N°2 des Sourcettes
712,34- 180,53 - 156
7 m en amont de le
précédente au ras de la route, un trou souffleur désobstrué débouche dans une
petite salle. L'aération provient d'une profonde diaclase. (62, 76)
107. Aven sans Fond des
Sourcettes
712,33 - 180,59 - 215
Grand porche 3 x 5 arrondi
visible au sommet de la falaise de 2a m qui domine la grotte de la Vire,
exactement au dessous de cette dernière. On y accède par une vire supérieure à
partir du plateau, ou s'ouvre une entrée supérieure en porche triangulaire l x
1,3 suivie d'un ressaut de 4 m. L = 3 m. P = +5.
108. Baume Cimerlière des
Sourcettes
712,30 - 180,60 - 220
Au fond d'un cirque boisé 20
m W de l'aven précédent, sur la même vire. Porche 8 x 4. Galerie WNW de 15 m.
GERSAM 24-5-81 (81)
109. Résurgence des
Sourcettes
712,36- 180,48- 131
Ensemble de griffons
impénétrables en dessous de la grotte des Sourcettes et de la grotte Aurèlie.
La température de l’eau varie entre 11°3 et 15°6.
Cette resurgence draine le cours souterrain du Rieutord
recoupe au fond du Trou fumant de l'Olivier (Commune de Moulès et Beaucels). On
recoupe des segments impénétrables de son cours amont dans la grotte Aurèlie,
la grotte des Sourcettes, la grotte de la Route et l'aven des Lauriers. (40,
41, 43, 51, 52, 53c, 62, 76, 82)
110. Résurgence des Sources
712,24- 180,56- 133
Griffon amont du réseau des Sourcettes, en dessous de
la grotte de la Route, au bord de l'Hérault. (40, 76)
111. Grotte du tournant de Laroque
711,73- 180,52- 160
Cavité portée sur la carte
IGN (anciennes éditions au 1/25000). Au bord E de la route 900 m en aval de
Laroque, porche bien visible 1,5 x 2. Galerie de 5 m (+ 1 ) avec passage double
au S, puis remontée en forte pente NNE (+4) se terminant à +5 dans un réduit à
angle aigu sous une trémie. L = 13 m. P = +5 Orientation W.
112. Grotte N°2 du tournant de Laroque
711,74- 180,48- 160
A 50 m en aval de la N°1,
porche déblayé dans le talus E de la route de 0,4 x 0,4, aboutissant après un
boyau E de 4 m sur un carrefour de trois conduits étroits (4 m au SE, 3,5 m au
NNE, 5 m auNE). L= 17m. D=22m.
113. Aven du Truc de l'Ayrolle
712,1 1 - 180,75 - 238
A 10 m S de l'aven effondre
N°2 (N° 54 de cet inventaire). Désobstruction GERSAM 1973. Puits de 7 m avec salle
au fond. Quelques concrétions (67)
114. Aven de Védrines
712,76 - 181,16 - 323 m
Porté sur IGN 100 m N de
l'aven n° 2 de Combe Capel et 100 m NNE du n° 1. Entrée 1 x 1. Descente
subverticale dans un chapelet de salles successives: 2 x 2 x 2 (-4), 1,5 x 1 x
l (-6) et 5 x 1,5 x 2 (-9). Fond à -11. Souffle en hiver. (41, 53c, 82).
115. Aven de la Vire
712,30 - 180,58 - 190 m
Bouche déblayée (GERSAM
1973) sur la vire dominant la draille au dessus de l'entrée NW des Sourcettes.
Puits de 24 m. P = -24. (62, 76).
116. Grotte de la Vire
712,33 - 180,59 - 195 m
Au fond du cirque dominant
la grotte des Sourcettes, sur la même vire que le précédent Porche 4 x 3. Trois
salles SN (7 x 4 x 5, 5 x 4 x 6, 4 x 3 x 1) et un réduit lateral donnant sur
une cheminée de 2,5 m. L = 19. P = +3,5. Cette cavite inedite pourrait, au même
titre que les n° 28 et 69 de cet inventaire, correspondre à la fameuse grotte de Laroque de Jeanjean. (10).
118. Grotte n° 14
712,16 - 180,65 - 200 m
A 12 m E de la grotte n° 2
des Lauriers, sur la même vire. Deux entrées 1 x 1 et 0,4 x 1. L - 9 m à la
page 178 de l'article de Bancal (40) on note une inexactitude: c'est cette
grotte, et non la n° 15, qui correspond à une galerie latérale de la grotte des
Lauriers. (40,41,53c).
119. Grotte n° 15
712,11 - 180,66 - 204 m
à proximité à 1 W de l’aven
Louis Mazet. L = 10 m. (40,41,53c).
Commune de Montoulieu
120. Abri sous roche de l'Escalière 715,74 - 182,21 - 330 m. à 100 m W de l'Escalière dans un petit cirque
juste en dessous de la crête, au dessous d'une ligne de rochers. Abri 2 x 1
long de 2 m, amenagé d'un mur grossier. Ossements et poteries decorées de
cordons en relief.
Commune de Moulès et
Beaucels
121. Aven de Blancardy 715,14 - 182,25 - 250 m à 250 m ESE du Castelas au
bord d'un ancien chemin de chars. Porté sur la carte IGN. GSG 10 Octobre 1950.
Belle ouverture de 5 x 5, puits subvertical de 13 m. L'éboulis descend vers l'E
puis le S. Nombreux ossements de bovides. Vers l'Est, une remontée sur coulée
rejoint une vire au milieu du puits d'entree. à -15 vers le N on accède à une
petite salle concretionnée au plafond horizontal. Le sol, toujours en éboulis,
descend jusqu' à-21 et colmate l'aven à -18. Traces de ruisseau temporaire. (41,53c,82). P = -18. L = 22-
Dt = 37.
122. Aven du Castelas 714,95 - 182,30 - 225 m. GSG 1939. à 100 m ESE du Castellas entrée moussue dans un lapiaz
avec vegetation. Puits de 13 m. La diaclase E.-W., large de 1 m à l'entrée a,
en bas, une largeur moyenne de deux mètres à -13, l'échelle aboutit sur un cône
d'éboulis avec trace de ruissellement récent. à l'Ouest, petit diverticule
remontant, au sol terreux. à l'Est, à -18, sol plan de terre noire (guano) avec
ossements anciens de capridés et de suidés. Une coulée abaisse le plafond à un
mètre. Derrière, une cheminée corrodée
permet de remonter près de la surface. Le fond est à l'E à -18. Ruissellements
temporaires. (41,53c,82).
123. Grotte
du Rocher du Pin 714,02 - 181,64 - 400 m.
Au pied de la falaise 150 m avant l'angle du rocher (en venant de
Laroque), accessible par une piste. GSG
1934. Porche 5 x 4. Galerie NS de 25 m
au sol terreux, aboutissant à une cheminée remontable sur 10 m. La
galerie se poursuit ENE, remontante
jusqu'à + 7 ou une coulée l'obstrue. Petite salle sous le plancher
stalagmitique. L = 50 m. P = +7. (41,53C,82)
124. Aven du Rocher de la Tourelle 713,34 - 181,57 - 370 m
à 10 m du pied du rocher (cote 388 et non 288 comme le mentionne
la carte)
Bouche 1.5 x 1,5. Diaclase NS 12 x 1. Fond à -10. GSG 1936.
(41,53c,82).
125. Aven de l'Aiguille 712,65 - 179,74 - 245 m à 10 m S de l'entrée
principale de la grotte des Poteries, 2 m en contre-haut de la corniche. GSG le
15 fevrier 1951. Kimméridgien
Entrée en porche, galerie de 3 m, puits de 10 m et salle 10 x 2 x
2 bouchée par éboulis à -15 m.
126. Aven n° 2 de l'Aiguille 712,58 - 179,68 - 155 m
-
à
3,5 m au dessus de la route descendant de la grotte des Demoiselles, en dessous
de la grotte n° 2 du même nom. Porche 1,5 x 1,5, puits de 9 m, ressaut de 3 m,
fond à -14 m dans deux petites salles. P =
-14. L = 6 m. SCAL 1956. Inedit.
-
127. Grotte de l'Aiguille 712,62 - 179,64 - 190 m
Découverte en 1956 lors de la
construction de la route descendant de la grotte des Demoiselles. S'ouvre sur
le bord E de la route, cachée sous un bloc, 60 m avant l'aiguille. Entrée 0,5 x
0,3. Puits de 2 m, pente oblique sur 2 m (-2,5) au NNW, donnant sur un
labyrinthe entre blocs (ancien porche effondre recoupe par les travaux de la
route).
Au S la galerie, qui se
développe sur deux étages, aboutit après 20 m à une salle 5 x 4 x 1m. Le bas de
étage inférieur est à -6 (point d'absorption).
Dans la salle, une remontée
délicate de 8 m donne sur une galerie joliment concrétionnée orientée S puis
ESE se développant sur 46 m. Le fond est obstrué par une argile bien varvée à
-12,5. Le point le plus haut est à + 15 dans deux cheminées.
Courant d'air aspirant en
hiver, soufflant en été à l'entrée. On le perd avant la salle et le réseau
supérieur est peu ventilé. A noter une fissuration importante des parois et des
concrétions, liée à la proximité du versant.
SCAL 1er Juillet 1956. (45,47,53c).
128. Grotte n° 2 de
l'Aiguille 712,58 - 179,66 - 165 m
En dessous de l'Aiguille
rocheuse bien visible dresse dans le lacet de la route descendant des
Demoiselles Porche bâti 0,3 x 0,5, salle 3 x 3 x 2 avec cheminée de 4 m.
Ancienne poudrière. Remplissage terreux du fond à déblayer (légère aspiration
le 7-2-82 par temps froid). Orientation ESE. L = 3. p = + 4 m.
129. Grotte n° 3 de
l'Aiguille 712,59
- 179,65 - 175 m
Sur le flanc S de l'Aiguille
à mi-chemin entre la précédente et le lacet supérieur de la route au bord d'une rutla descendant à la n° 2.
Porche 2 x 1. L = 4 m.
Simple abri orienté au NW, éclairé par une seconde entrée impénétrable. Vers
l'E trémie à déblayer.
128. Source de l'Aiguille
Portée sur la carte IGN,
cette source située en bordure de l'Hérault a un débit variant entre 2 et 25
l/s, pour une température de l6°8 (43).
Il est possible qu'elle
draine les eaux collectées par le pli
faille du Moulin Neuf, mais sa
température élevée pourrait en faire une résurgence d'origine
« profonde ». Il ne semble pas s'agir d'une dérivation de l'Hérault
(voir n° 79 de cet inventaire) ou du réseau Rieutord-sourcettes (voir n° 109 de
cet inventaire), puisqu'aucune coloration de ces systèmes ne l'a affectée.
(43,53c).
129. Bauma d'Aimé 713,27 - 179,76 - 340 m
En fond de cirque 250 m NE
de la plateforme de la grotte des DemoiselleS et 70 m en contre-haut,
accessible par le sentier du Pas de Posòl.
Bouche 4 x 4 murée, avec une
porte (utilisable comme bivouac). Galerie NNE de 3 l m. à 14 m de l’entrée on
escalade un mur construit de 1 m. Bouchée par la stalagmite. Devait
correspondre avec le n 145. (56).
130. Bauma d'Aime n° 2 713,20 - 179,72 - 330 m
Dans la même falaise, cavité
de paléokarst formant un porche 6 x 4 obstrué par le remplissage. (On trouve 30
m plus bas, sur le chemin, un pilier spectaculaire qui doit en provenir. A 5 m
au dessus de ce porche, une lucarne donne sur une salle 3 x 1 x 1 ressortant à
+ 2 dans une charbonnière du plateau.
131. Bauma d'Aimé n° 3 713,20 - 179,65 - 320 m
Porche boisé 2 x 5 dans un renfoncement
de la falaise au sommet d'une voie d'escalade, relié par un lucarne à + 4
rejoignant le cirque de la Bauma d'Aimé
Grotte descendante de 22 m (P = -5) presentant des vestiges d’occupation
chalcolithiques et medievales. Son sol
est remanié par de nombreux sondages clandestins.
132. Bauma d'Aimé n° 4 713,17 179,62 - 290 m Porche 3 x 3 au pied de la
falaise-ecole ou @e la cavite précédente, 50 m ENE de la buvette de la grotte
des Demoiselles. Simple baume de 6 m
SN.
133. Bal-ma d'Aimé n° 5 7,13,1S - 179,62 - 285 m
A 20 m W de la précédente au
pied d'une falaise. Boyau étroit non vu.
134. Bauma d'Aimé n° 6 713,33 - 179,72 - 300 m
En contrebas du sentier du Pas
de Posòl à l'aven du Lierre. Porche
1 x 3. Grotte-méandre cutanée de 5 m redonnant sur la falaise par un porche
boisé 0,5 x 1 (P = + 1).
135. Aven Sans Fond de la Bauma d’Aimé 713,21 - 179,65 - 310 m
En contrabas de la piste
montant du Pas de Posòl à la grotte n° 3
d'Aimé. Porche 1 x 1, puits crevant la falaise 20 m à gauche au Pas de Posòl.
P = -20.
136. Bauma Bastida n° 1 712,73 - 179,51 - 290 m Dans un cirque d'erosion de
la falaise en rive gauche de la combe dite Cengle
de Josep, dans un replat son sommet 50 m W de la cote 316. Porche 3 x 2
mure. Galerie NS de 10 m au sol plat. Un crochet scelle dans le mur permet
d'acceder à un étage supérieur sur un plancher stalagmitique, se superposant à
la galerie précédente et rejoignant le dessus de l'entree par trois lucarnes. L
= 20 m. P = + 5- (56).
137. Bauma Bastida n° 2 712,73 - 179,50 - 290 m
A 15 m S de la précedente,
grotte abri 5 x 5 se continuant par un aven remontant.
138. Bauma de Boas n° 1 (Grotte n° 2 des Camisards) Au pied de la falaise S du
Taurac 70 m W du Cengle de Josep à l'angle
du Pas de la Bufa. Deux entrées dont
un porche 2 x 2 se rejoignent dans une galerie de 18 m NE (-4) au sol de
pierrailles. Au fond, boyau descendant NW de 2,5 m obstrué à -5. L = 22 m-
(46,49,54,56).
139. Bauma de Boas n° 2 (Grotte n° 3 des Camisards) 712,6S - 179,47 - 222 m à 2
m E de la précédente, 2 m au dessus, entree emplie par un roncier (1 x 3). L =
27 m. P = -6. Fin sur etroiture impenetrable. (46,49,54,56).
140. Bauma de Boas n° 3 712,63 - 179,50 - 235 m Dans un renfoncement au pied
de la grande falaise exposee à l'W qui domine le Pas de la Bufa en contre-haut du sentier des Demoiselles à la Comba de l'Euse. Porche 4 x 4 oriente
au SE, long de 5 m.
141. Bauma de las Cabras 712,73 - 179,50 - 310 m
Sur la vire dominant le Cengle de Josep au dessus de la Bauma Bastida n° 2. Vaste bouche en
joint de strates 10 x 2,5. Simple abri long de 9 m s'enfoncant à l'E 1/4 SE.
(56).
142. Bauma n° 2 de las Cabras 712,80 - 179,54 - 313 m
A 50 m NE de la précédente à
gauche du chemin qui quitte la même vire pour monter sur le sommet cote 316-Entree
1,5 x 2. Galerie remontante jusqu'a + 5 ou le remplissage stalagmitique
tangente la voute- Le plan de la grotte dessine un Y. L = 13 m. Orientation
NNW.
143. Grotte des Camisards 713,10 - 179,60 - 286 m
S'ouvre au dessus de la
plateforme des Demoiselles à 30 m W de l'entrée du tunnel, par un vaste porche
fortifié en 1685 (meurtrières et portes); C'est une galerie de 25 m de long
pour 2 à 3 m de section. Poteries
chalcolithiques et bronze. La tradition locale rapporte que l’abbé Lonjon, de
Saint Bauzille. y fut caché par les habitants de Lacoste durant la Terreur.
(28,30,53c,54).
Les grottes n° 2 et 3 des Camisards ont été décrites sous les n° 138 et 139 du présent inventaire-
144. Grotte de Chanson Cavité citée sans précisions par Lucante (11) comme
voisine de la grotte des Demoiselles. (53c).
145. Aven de la Chèvre 713,24 - 179,90 - 380 m
95 m avant l'aven du Lierre,
le sentier du Pas de la Fendilha au Plan
de la Platja traverse une aire de charbonniers. L'aven se trouve 110 m N de
ce chemin, 50 m avant cette aire de charbonniers. GSG 1936-1950. Bouche 3 x 4,
puits de 11 m, recoupant une galerie SN de 73 m de long. Le point bas est à mi
parcours à -23 dans un sucreusement du remplissage. D = 106 m. (41,53c,82).
146. Grotte n° 1 de la Combe de l'Euze 712,57 - 179,77 - 183 m Au
bord de la route 80 m après l'Aiguille. Orifice
4 x 1,5. Salle 8 x 8 x 1. P = +2. L = 14 m. Orientation NNE.
147. Grotte n° 2 de la Combe de l'Euze 712,57 - 179,76 - 180 m 10 m
avant la précédente dans le fosse E de la route au niveau d'un poteau indiquant
un tournant. Porche sans suite.
148. Grotte n° 3 de la Combe de l'Euze 712,64 - 179,73 - 245 m à 25 m S de la grotte des Poteries et 5 m
plus haut. Vaste porche 5 x 4 bouche après 4 m par une trémie énorme.
Grotte n° 4 de la Combe de l'Euze (Grotte de la Piste Bleue) 712,78 - 179,56 - 285 m
A 5 m S de la Piste balisée
en bleu. Orifice 1,5 x 2,5. L = 5 m, P = +3. Fin sur trémie. (56).
Grotte n° 5 de la Combe de l'Euze 712,64 - 179,73 - 235 m
En contrebas de la n° 3, au
pied d'une petite falaise, 7 m plus bas que la grotte des Poteries.
Porche 2 x 1,5. Abn au sol
terreux long de 4 m.
Grotte de la Grande Corniche 712,50 - 179,95 - 240 m
Situee 10 m au dessous de la Jalbertassa au dessus du Moulin
Vieux. Longue de 20 m. (41,53c,82).
150. Grotte n° 5 de la Combe de l'Euze 712,64 - 179.73 - 235 m
En contrebas de la n° 3, au
pied d'une petite falaise, 7 m plus bas que la grotte des Poteries. Porche 2 x
1,5. Abn au sol terreux long de 4 m.
151. Grotte de la Grande Corniche 712,50 - 179,95 - 240 m GSG 1934.
Située 10 m au dessous de la Jalbertassa
au dessus du Moulin Vieux. Longue de 20 m. (41,53c,82). " à une dizaine de mètres sous la grande
corniche au dessus du moulin vieux s'ouvre un porche, il donne dans une galerie
au sol horizontal bouchée par les concrétions à une vingtaine de mètres de
l'entrée. "
152. Grotte des Demoiselles (Bauma de las Domaiselas, Grotte de Ganges
ou Aven du Thaurac) 713,01 - 179,76 – 371 m Cavité très connue de 500 m de developpement (P
= -90) etudiée par E.A. Martel (2,3,4,10,
11, 14, 15, 16, l7, 25, 27, 29, 31) et R. de Joly (28,31,35,36). En
1973, le GSUM (63) decouvre au fond un nouveau prolongement. (30,38,53c,54,56,51,68,82).
153. Aven du Lapiaz Est des Demoiselles Sur une faille 300 m ENE de
l'Aven du Thaurac (soit au voisinage des avens du Lierre et de la chèvre). R.
de Joly 1934 (35,53c). Cavite SN de 10 m de long (-4).
154. Grotte de la Falaise (Paloc): Grand
Porche de la Falaise Sud de Thaurac (de Joly) Bauma dau Cropatàs (Dainat). 712,75 - 179,48 - 300 m à 20 m W de
la boucle de la route, 30 m au dessus du pied de la falaise et 33 m en dessous
d'une vire qui contourne la cote 316. Vaste porche 4 x 12 et entree laterale
1,5 x 1,5 se rejoignant dans un vaste vestibule montant à 70°, direction NS, se
terminant dans un réduit concretionné 4 x 4. (+ 15). R. de Joly 30 Mars 1930.
(28,53c,56).
155. Aven du
Figuier 712,72
- 179,61 - 280 m.
A 80 m SE de la grotte des
Poteries et 140 m NW de la grotte du Soleil, 8 m au dessus du chemin dit de l'Escalèeira qui monte du Pas de la Bufa à la Lausada, 15 m avant la grotte n° 1 du
Figuier, dans la paroi E d'une rue de rochers parallèle au
chemin. Porche 1 x 2,5 donnant sur un puits de 30 m suivi d'un puits de 22 m. Au
fond passages étroits sans suite. P = -55 m. (17,18,27,37,53c).
156. Grotte du Figuier n° 1 712,72 - 179,61 - 270 m
Sur le bord E du sentier de
l'Escaliera, repère permettant de repérer l'aven précédent situé 15 m au SE.
Orifice 2,5 x 1,5. L = 5 m.
157. Grotte du Figuier n° 2 712,75 - 179,75 - 310 m
Sur le même sentier
lorsqu'il rejoint la corniche de la Lausada. Orifice 1,5 x 1,5. L = 4 m.
158. Aven Issert n° 1 712,88 - 179,79 - 360 m
Orifice 2 x 1 sur le chemin
de l'aven du Pater à l'aven du Bas. P = 4. L = 10 m. (63).
159 Aven Issert n° 2 712,89 - 179,77 - 360 m
A 20 m S du n° 1, explore
par le GSUM (1973). (63). Serie de puits pénétrables jusqu'à -58 m.
160. Aven Issert n° 3 712,89 - 179,76 - 360 m
A 30 m SW du n° 2. En cours de
désobstruction par le GERSAM.
160 bis . Aven de la Jacquière. [Coord approx. 712,92 - 180,02 - 321 m]. à
4m du chemin de Laroque face charbonnière qq dizaines de vmètres avant le mur
communal. Dynamité orifice 1x1. Pente -3. Diaclase 5m (1x2) et puits de 4m.
161. Cheminée du Laurier (La
Chiminieireta) 712,54 - 180,05 - 290 m
Sur le sentier bordant le sommet des grandes falaises qui
dominent la draille et l'Herault, en contre-haut du Moulin Vieux, à 5 m d'un
belvedere.
Boule 1,5 x 1, puits de 10 m
aboutissant à une baume de falaise ou croit un Laurier.
R de Joly 1930. (28,53c,56).
162. Cbeminée n° 2 du Laurier: avenc de la Comba de la Gamenha 712,58 - 180,05 - 310 m
A 50 m E du N° 1 dans un
lapiaz en rive droite de la Comba de la Gamenha.
Orifice 2 x 1, diaclase
NE-SW. Fond à -6 au SW.
163. Aven du Lierre (avenc de l'Eurre) 713,32 - 179,95 - 383 m Vaste
bouche 15 x 10 sur le sentier se dirigeant vers le Plan de la Platja à
partir de la réunion de deux sentiers montant sur le Taurac par le Pas de la Fendilha et le Pas de Posòl. GSG 1936-1949. Puits de 14 m. L'éboulis descend
au NE à -21 ou trois passages donnent dans une salle 15 x 15 x 11 dont le bas
est à -28. Vers le N galerie concretionnee de 36 m, horizontale (-25).
Vers le SE, remontee de 3 m,
galerie en plafond de 10 m donnant sur une salle 6 x 4 x 6 en pente se
poursuivant par un ressaut de 6 m, un laminoir et une galerie de 10 m (-33).
Revenant à la salle de -28, on trouve au NE un trou aspirant (-23) deblayé le
2-10-82 par le GERSAM. Apres 2,5 m il
donne sur une salle 7 x 5 x 4, suivie d'une remontee au NE, d'un puits de 6 m,
d'un puits de 2 m et d'une salle 8,5 x 4 x 1. Fond de cette partie à -32. Au
total L = 198. Dt = 306. P = -33. Cavite intéressante pour son
concrétionnement, malheureusement très fragile. (41,53c,81,82).
164. Aven n° 2 du Lierre 713,43 - 179,95 - 368 m à 120 m E du n° 1, 25m E du
sentier du Pas de Posòl au Plan de la Platja que l'on quitte 10m avant
l'embranchement du sentier venant de l'entrée de l'aven N°1 du Lierre.
Difficile à trouver dans les lapiaz boisés. Bouche 1x0,4 sur diaclase SN. GERSAM 1972 (57,67). P = -30 m.
165. Grotte du Lierre n° 1 713,62 - 180,01 - 340 m Au pied d'un gros rocher en
rive gauche de la combe qui descend des avens du Lierre, au bord d'une piste
balisée en vert. Porche 1 x 3. Beau méandre 1 x 2,5 bouché par la concrétions
après 4 m (P = + 2). Trou souffleur à déblayer. Sépulture énéolithique dans une poche à gauche de l'entrée. à 120
m NE, série de laminoirs à désobstruer au pied de la falaise.
166. Grotte de la Louviere 713.04
- 179,62 - 350 m
Au bord du chemin de la
grotte des Demoiselles à l'aven du Lierre, juste au niveau de l'embranchement
d'un chemin N qui se dirige sur l'aven du Taurac et l'aven du Pater. Bouche basse, suite de deux salles
surbaissées se dirigeant vers le N. L = 15. P = -2. Ossements humains et
poteries. (41,53c,82).
167. Grotte n° 2 de la
Louvière 712,96 - 179,63 - 330 m. Au bord du même chemin au pied d'une
falaise du cirque qui domine le Pas de
la Fendilha. Porche 1,2 x 1,8. L = 7 m SN.
168. Grotte
n° 3 de la Louvière 712,92 - 179,54
- 320 m
Au bord du sentier de la Fendilha au Soleil, sur une vire.
Orifice 4 x 1. Laminoir EW vu sur 5 m.
169. Grotte n° 4 de la Louvière 712,92 - 179,54 - 310 m
En contrebas de la
précédente dans la falaise. Porche 3 x 6 profond de 3 m et boyau SN 0,5 x 0,5. L = 5m.
169 bis. Grotte n° 5 de
la Louvière . SCAL (10-11-91). à 75m de
l'embranchement vers l'aven du Taurac sur le chemin du Pas de la Fendilha au
Pas de Posòl. 27m à gauche du sentier derrière deux charbonnières. Porche 5x0,4
au pied d'une rancarède. Salle 11x6x0,5. (-2). Colmatage de terre. SCAL Calaven 7 (1991) p 139.
170. Baume n° 1 des Maquisards 713,10 - 179,60 - 296 m
A 10 m au dessus de la
grotte des Camisards (n° 143). Vaste porche 10 x 6. Simple abri de 5 m de long.
(28).
171. Baume n° 2 des Maquisards 713,10 - 179,60 - 302 m
A 6 m au dessus de la
précédente Entree 1 x 2, diaclase étroite de 7 m de long. R. de Joly, 1930
(28). Une certaine confusion semble exisler entre la grotte des Camisards (n° 143 et 170) toutes trois explorées par
R. de Joly en 1930, et le système fossile des Camisards correspondant aux deux
Baumes de Boàs fouillées par J Audibert et que H Paloc appelle grottes N° 2 et
3 des Camisards (53c).
172. Grotte haute du Moulin Neuf n° 1 712,62 - 179,84 - 240 m
Presente 3 entrees dont un
porche 2 x 2 sur ]a vire rejoignant la Comba
de la Gamenha à partir de l'entree supérieure de la grotte des Poteries. L
= 30 m. Pour distinguer ces cavités de
la série des grottes basses du Moulin
Neuf nous appelons cette grotte et la suivante grottes hautes du Moulin Neuf
mais le premier auteur qui les décrit, à Bancal, les dénommait simplement
grottes du Moulin Neuf (42,53c,82).
173. Grotte haute du Moulin Neuf n° 2
712 62 - 179,85 - 240
m. Le 4 mars 1951. Kimméridgien. à 30 m N de 1 entrée septentrionale de la
précédente, entrée 2 x 1, puits-diaclase bouché à -6. L = 10 m. A signaler au
dessous de cette cavité un vaste entonnoir rocheux dont le fond débouche au
pied d'un ressaut 2,50 m plus bas, formant une courte traversée.- (42,53c,82).
174. Grotte haute du Moulin Neuf n° 3 712,63 - 179,76 - 250 m
Au débouche de la vire des grottes
précédentes sur la Comba de l'Euse. Entrée 1,5 x 1 dans un renfonce-ment
de la falaise dominant l'entrée N de la grotte des Poteries. Boyau ESE de 8 m
(+ 1) donnant sur un aven 1 x 1 débouchant sur la vire (-2). Etroiture et salle 2 x 1 x 1,5 fin sur boyau
remontant- L = 12m.P= +3.
75. Grotte haute du Moulin Neuf n° 4 712,63 - 179,86 - 255 m
Simple trou-souffleur
pénétrable sur 4 m.
76. Aven sans fond du Moulin Neuf 712,62 - 179,82 - 245 m Entre les
grottes n° 1 et 3, sur la vire: deux entrées I,5 x 1,5 et 2 x 4 superposées
donnant sur un aven montant de 10 m.
77. Grotte basse du Moulin Neuf n° 1 712,58 - 179,85 - 150 m Sur la
vire inférieure des falaises du Taurac entre la grotte des Poteries et la Comba
de la Gamenha. Porche 7 x 3 donnant après 4 m sur un passage 1 x 0,5 se
prolongeant sur 7 m. Vestiges préhistoriques à déblayer au fond. L = 13 m. P =
+2. Orientation: ENE. (81}.
178. Grotte basse du Moulin Neuf n° 2 712,58 - 179,86 - 150 m) Porche
2,5 x 2,5 et après 2,5 m bifurcation donnant sur deux galeries parallèles: à
droite 15 m; à gauche 14 m (rejoignant une seconde entrée par un passage
latéral descendant). L = 38 m. P = -7. Orientation: E. (81).
179. Aven sans fond du Moulin Vieux 712,49 - 180,11 - 195 m En dessous de la Jalbertassa
orifice 1,5 x 1,5 sur une vire avec abri sous roche. Puits de 18 m aboutissant
à un porche 4 x 5 en pente 15 m au dessus du pied de la falaise, long de 5 m et
oriente au SE. P = -18. Une galerie en diaclase (desobstruction GERSAM)
poursuit horizontalement sur 15 m le porche du fond. (41,53c,82).
180. Aven du Mur Communal X = 7I2,8; Y = I79,12; Z = 340 m. environ.--I938.A
20 m du mur de limite communale. Des blocs bouchent presque entièrement
l'ouverture, à une vingtaine de mètres du mur limite de la commune. Par un
étroit passage, on pénètre dans une diaclase N.-S. Une pente subverticale
coupée de ressauts mène, a -10, au sommet d'un petit cône éboulis qui conduit,
à - 13, à une petite salle au sol plan terreux. Sur les parois, corrosion et
quelques excentriques. Petit aven de 13
m.
(41,53c,82).
181. Bauma de la Paredassa (Grotte de la Pariétaire) 712,77 - 179,54 - 285 m Au
fond d'un petit cirque en contre-haut de la Bauma Traucada n° 1, accessible par le sentier du Cengle de
Josèp après avoir traversé la Bauma Traucada n° 2. Cachée par la
végétation. Porche 8 x 4 et galerie ESE donnant après 10 m sur une salle dôme
10 x 10 x 10 bouchée par une grosse trémie à 20 m de l'entrée. A l'extrêmité SW
de cette salle, remontée et puits latéral de 8 m. D = 26- (56).
182. Aven du Pater et aven Mouret 712,93 - 179,79 - 355 m
A 60 m WNW de l'aven du
Taurac (n° 151), ouverture 3 x 4 et puits de 68 m avec puits latéraux
parallèles et redans emplis de pierres (-35, -40, 45).
Au fond talus éboulis dans
une salle 15 x 10 x 8 avec quelques concrétions Vers le S puits étroit
pénétrable jusqu'à -81. (17,18,27,28,30,37,41,53c,63).
L'aven Mouret (712,94 - 179,78 - 356 m) s'ouvre à 20 m S de l'entrée du Pater, à 5 m
N du chemin allant à la grotte du Soleil. Découvert par le GSUM, il jonctionne
avec le Pater à mi-puits. (63).
183. Aven du Pater n° 2: aven du Bas 712,79 - 179,76 - 340 m
A 150 m W du Pater, 8 m W du
sentier sur un belvédère dominant l'Hérault. Sondé par Martel en 1897 à 30 m ["un aven, où je n'ai pas pas pu
descendre à cause de l'obstruction de
son orifice, mais où la sonde à indiqué un minimum de profondeur de 30 mètres."],
il a été désobstrué en 1930 pour permettre l'exploration de R. de Joly. Sa
bouche 0,5 x 0,8 donne sur un puits de 27 m suivi d'une pente d'éboulis et d'un
second puits de 14 m. Le fond est à -48. R de Joly l'avait surcôté en lui
accordant 64 m de profondeur. (17,18,27,28,30,37,41,53c,56,63).
Une monographie détaillée de
C. Mouret (68) étudie le remplissage et la spéleogenèse de cette cavité.
184. Aven du Bas n° 2 712,83 - 179,88 - 352 m
Cet aven porte sur la carte
sous le nom d'aven d'en bas s'ouvre
sur une piste balisée en jaune qui va de l'aven précédent au mur de limite
communale, à 2 m E du chemin, par une bouche 1 x 1 encombrée de blocs de
calcite. Puits de 23,5 m, éboulis dans une salle 10 x 4 x 15 orientée SSE dont
le bas est à -25. Il faut noter ici aussi une certaine confusion toponymique,
puisque cette cavite n'ejt pas l'aven du
bas de Martel et de Joly. La carte de D. Dainat (56) intervertit les avens
du Bas et du Pater, confusion reprise par Mouret (63) qui rectifiera par la
suite cette erreur (68). La nomenclature adoptée ici est donc la plus
communément admise, et à priori la plus correcte. C'est d'ailleurs aussi celle
de Paloc (53c). Pour revenir à l'aven du bas n° 2, c'est le seul aven du Taurac
ou nous avons observe, en Septembre 1983, du gaz carbonique, en quantité
suffisante pour nous empêcher de poursuivre sa visite.
187. Aven n° 1 du Mas de la Plage 713,88 – 180,28 – 300 m
à 360 m E de la Roquette, 300 m NNE de la Plage, au pied d'une
falaise au niveau d'une cassure dessinant avec un banc horizontal une lettre T
visible de loin. Orifice désobstrué le 11-12-82: 0,4 x 0,3. Diaclase SN concrétionnée
pénétrable jusqu'à - XXX
188. Aven n° 2 du Mas de la Plage 713,97 - 180,24 - 280 m à 100 m ESE du
précédent, en pied de falaise 5 m au N d'un éperon marque. Orifice 0,4 x 0,8,
ressaut de 2 m, à désobstruer à -5.
189. Grotte du Mas de la Plage 713,98 - 180,38 - 310 m Galerie 1,5 x 3 trouvant un
eperon rocheux. Orientation ESE. L = 9 m. P = + 1,5. Vestiges d'aménagement
ancien.
190. Aven du Point 411 713,17 - 180,06 - 410 m Ouvert par le GERSAM en
1972. Série de puits jusqu'à -45.
191. Grotte des Poteries 712,64 - 179,75 - 240 m
Entrée ovale 3 x 5 au pied des falaises de rive droite de la Combe de l'Euze, à
S0 m au dessus de la route au sommet d'une pente éboulis Cavite complexe de 150
m de long pour 39 m de dénivelée, comportant 3 étages et 6 entrées connues,
traversant de part en part l'éperon de falaises qui domine le tournant en
épingle à cheveux de la route qui descend de la grotte des Demoiselles.
(17,18,27,37,41,42,44,53C).
192. Trauquet del Potz Bastit 712,27 - 181,74 - 402 m à 100 m WSW de la cote 418,
5 m N de la ligne de crete limitant le versant S abrupt du versant N en pente
douce, dans une zone de grottes de surface arrasées jalonnées de massifs de
calcite. Orifice 1,5 x l,5. P = -1,5. L = 2. Courant d'air le 15-1-83.
193. Trauquet n° 2 del Potz Bastit 714,75 - 181,35 - 430 m
A 40 m SW du coude du chemin
d'Escalières au Roc del Pin. Cavite
de paléokarst 5 x 1,5 profonde de 1 m. à noter un ensemble de cavités analogues
(714,46 - 181,03 - 430 m) situe 430 m SW, témoignant d'un très ancien niveau de
creusement, et pointe sur la carte de D. Dainat. (56).
194. Avenc del Potz Bastit 714,67 - 181,62 - 451 m
A 150 m ESE du sommet 471 à
l'Est du Roc del Pin, 20 m S d'un cirque de falaises, dans un terrain dégagé.
Bouche 0,5 x 0,3 déblayée le 30-1-83 (GERSAM). Puits diaclase bouché à -12 par
éboulis Erosion fraîche malgré l'altitude.
195. Aven du Mas de la Roquette
Au pied des falaises. P =
-14 m. (41,82).
Grotte n° 1 du Mas de la Roquette 714,42 - 180,58 - 290 m
A 300 m NE de la Roquette,
30 m NE d'une charbonnière accessible par une piste à partir de ce mas.
Orifice 1 x 1 sous une
rancarède. Puits de 2 m, galerie en pente donnant sur une salle 6 x 3 x 3 (-5)
avec un diverticule recurrent de 5 m vers le S et un mur construit. Vers le N
remontée de 4,5 m et boyau SW de 5 m obstrue à + 2,5. L = 23. P = -5 et +2,5. D
= 35. Orientation N..
Grotte n° 2 du Mas de la Roquette 714,42 - 180,57 - 283 m
S'ouvre 1 m S de la
précédente et 7 m plus bas par un porche triangulaire 1 x 1. Salle 5 x 4 x 3 et
boyau soufflant correspondant au diverticule de la grotte sus jacente (jonction
faite à la fumée). L = 10 m. P = -1.
198. Grotte n° 3 du Mas de la Roquette 714,33
- 180,55 - 300 m
Au dessus des précédentes, boyau étroit de 10 m.
199. Aven sans Nom 713,00 - 179,78 - 363 m Au
Nord et à peu de distance (30 m NNW) de
l'aven du Thaurac (entrée naturelle de la Grotte des Demoiselles). Son entrée
arrondie est due à une érosion tourbillonnaire. De l'entrée au fond on trouve successivement:
la salle d'entrée de 3m de haut avec plancher d'éboulis. Un petit puits de 4m
environ débouchant dans une galerie horizontale impénétrable. Parallèlement un
passage descendant menant au bout de 2m à un puits vertical de 15m. Le fond est
occupé par des éboulis. à cet endroit, une galerie horizontale, très étroite,
s'amorce, et elle est orientée vers l'Ouest.
P = -20 m (63).
200. Grotte du Soleil 712,82 - 179,76 - 325 m Au pied de la falaise
supérieure de la Combe de l'Euze juste au dessus du plateau. Entonnoir en pente (-4) et
porche 4 x 5. Puits de 23 -m donnant sur une salle 40 x 18 x 35, dont le point
bas est a- 29, et qui remonte à + 3 m au NW. A 25 m NW de l'entrée une seconde issue
à l'extérieur permet de court-circuiter le puits de 25 m. L = 50 m. P =
-29m. Grand axe NW. (17, 18, 27, 28,
30, 37, 39, 41, 44, 53c, 56).
201. Grotte n° 2 du Soleil 712,82 - 179,75 - 327 m à une quinzaine de mètres au
S de la grotte n° 1, Petite cavité descendante obstruée par la pierraille à -2.
Elle devait correspondre avec des cheminées de la partie S de la grande salle.
202. Aven du Touron (ou aven Toura) 712,91-- 179,90 - 360 m à 30 m E de
l'aven Issert n° 1 sur le chemin de l'aven du Pater à celui du Bas. Orifice 1 x
0,5. GSUM 1973 (P = -4) et 1975 (P = -17). (63).
203. Bauma Traucada 712,73
- 179,55 - 280 m Vaste porche visible de la route dans les falaises moyennes en
rive gauche de la Comba de l'Euse,
accessible par une piste escarpée à partir de la draille construite qui
traverse cette combe en direction du Pas de la Bufa. Portée sur IGN.
Entrée grotte 5 x 12, donnant sur un vestibule ou débouche un vaste aven 15 x
4. Un diverticule aboutit à une deuxième entrée 1,5 x 2 et à un aven montant. L
= 30 m. P = -15. (56).
204. Bauma Traucada n° 2 712,73 - 179,54 - 295 m Au dessus de
l'entrée-aven de la n° 1, aven 4 x 3 qui se fait en escalade et est traverse
par le sentier du Cengle de Josèp.
Il ressort à -6 par un porche 0,5 x 0,8. Orientation NW. C'est la voie
d'accès à la Bauma de la Paredassa.
205. Bauma Traucada n° 3 712,72 - 179,54 - 300 m Au dessus des deux
précédentes, baume visible trouée en son plafond d'un aven de -6 m.
206. Bauma de la Venge 712,80 - 179,49 - 270 m Au dessus de la route qui
descend de la grotte des Demoiselles, 40 m avant la première boucle d'ou part
le chemin du Cengle de Josèp.
Porche visible 3 x 5, salle de 8 m de long servant d'abri (fouillée). Une
cheminée 4 x 3 remontante ( + 15). L = 8 m. Orientation SN. D. Dainat (56) la
mentionne avec l'orthographe incorrecte Benje.
207. Grotte de Voulpiac 714,63 - 180,87 - 350 m Cette grotte et les
suivantes trouent les grandes falaises kimméridgiennes qui dominent la naissance
du ruisseau de la Tuilerie 1100 m à 1300 m N de Voulpiac. Le porche 6 x 6,
visible dans la falaise supérieure, donne sur un conduit de 5 m remontant.
208. Grotte
n° 2 de Voulpiac 714,64 - 180,88 - 350 m Située à 30 m NE de la précédente,
à 3 m au dessus du pied de la falaise. Entrée 1,5 x 1,5 et curieuse galerie de
5 m de section carrée, servant de terrier à des blaireaux, et s'achevait sur
des blocs éboulés.
209. Grotte n° 3 de Voulpiac 714,66 - 181,12 - 390 m.
Grand porche 10 x 6 visible au fond d'un beau
cirque. Salle 14 x 10 x 12 et à -11 ressaut et alvéole de 2 m sans suite (+
14). L = 16 m. P = + 14.
210. Grotte n° 4 de Voulpiac 714,67 -181,12 - 390 m.
A 20 m E de la précédente,
simple abri muré 2 x 1 long de 3 m.
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